Le 30 mai 2018, sur CNEWS, Laurie Bosdecher publiait un article intitulé : La députée Catherine Fabre décrypte le projet de loi sur l’orientation. Laurie Bosdecher est laRédactrice en chef de CNEWS Bordeaux7 et diplômée de l’Ecole supérieure de journalisme de Lille.  Catherine Fabre, députée LREM, est rapporteure du volet formation professionnelle et apprentissage du projet de loi sur la liberté de choisir son avenir professionnel[1] dont nous avons déjà parlé ici[2]. Deux personnes très compétentes, pour des raisons diverses, pour décrypter ce projet. Examinons les questions et surtout les réponses.

Le 22 Mai, la phase de "réception et acceptation des propositions" de Parcoursup s'est ouverte. Elle court jusqu'au ... 21 septembre. De quoi stresser ceux des lycéens qui pourraient être contraints d'attendre longuement l'arrivée d'une proposition d'affectation. On a beaucoup dit, tout au long des phases précédentes, que ce serait quelque chose d'insupportable pour les familles.

La plateforme d’orientation a délivré hier ses premières réponses à des terminales dans l’attente pour la rentrée prochaine.

Les lauréats - à paris le 24 mai 2018 - Organisée le 22 mai 2018 au Grand Rex Paris, la cérémonie du concours pédagogique « JE FILME LE METIER QUI ME PLAIT » a récompensé 160 projets devant 2700 jeunes venus assistés à la remise de prix.

Mardi 22 mai au Grand Rex nous étions invités à la cérémonie de remise des prix de la saison 11 du concours Je Filme le Métier Qui Me plaît. Près de 2700 participants ont répondu à l'appel et se sont présentés devant le plus grand cinéma d'Europe pour participer à cette journée exceptionnelle.

Je Filme le Métier Qui Me Plait, Je Filme Ma Formation en partenariat avec Educavox, la Région Nouvelle-Aquitaine, le Rectorat de Limoges et l'atelier Canopé 19 vous accueille :

Mardi 5 juin 2018

De 10 heures 30 à 15 heures 30

A l’Hôtel de Région - Salle de l'Assemblée

27 Boulevard de La Corderie, Limoges 87000

Dire que ParcourSup rencontre quelques petits problèmes est un euphémisme... Cela semble malheureusement être le plantage total. Et, comme de coutume, je vois fleurir les commentaires façon "c'était mieux avant". La technologie a bon dos.

Pourtant une machine ne fait que ce qu'on lui demande de faire. Elle ne va pas plus loin. Quand un programme est codé avec des moufles, il y a bien une paire de mains dans ces dernières.

Dans le cadre de la rencontre des entreprises Ed Tech avec les acheteurs de solutions éducatives, en présence de la Mission des Achats du Ministère de l’Education Nationale, du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, la Direction du Numérique pour l’Education et de collectivités locales qui s’est déroulée à l’ENSEIRB-MATMECA à Talence en Gironde, nous avons rencontré trois start-up qui proposent des dispositifs innovants.