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Durant la crise sanitaire, en France, élèves et enseignants ont été physiquement éloignés des établissements scolaires. D’abord avec des fermetures d’écoles, puis avec la mise en place du confinement de mars à mai 2020 et pendant les rebonds des vagues de contamination. L’État français a pris des dispositions pour remédier à l’empêchement du service d’éducation et pour maintenir les activités d’enseignement. Dans les textes institutionnels du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports (MENJS), le recours aux techniques numériques a été énoncé comme une « solution » afin d’assurer « le maintien du lien pédagogique et l’entretien des connaissances acquises » (BO n° 10, 5 mars 2020). 

Cet événement sanitaire a affecté tous les pans de la vie sociale et des institutions, s’imposant comme un « fait social total » (Mauss, 1924).

Pendant cette période, les recherches universitaires en sciences de l’information et de la communication (Boudokhane-Lima et al., 2021), en sciences de l’éducation et de la formation (Caron, 2021) ou en sociologie (Bonnéry & Douat, 2020) ont été menées sur l’École, les élèves, les enseignants et le confinement dans de nombreux pays (Vidal, 2020). De plus, les enquêtes faites par la DEPP (Barhoumi et al., 2020), les rapports de l’IGÉSR (Hazard et al., 2020), ou l’enquête de l’opérateur Réseau Canopé (Rakotomalala Harisoa, 2020), apportent des éléments de compréhension du travail accompli par les enseignants et les élèves. 

Après cet événement et le recours massif aux techniques numériques pour assurer la « continuité pédagogique », les résultats des recherches présentées font partie de la revue de littérature d’un travail de thèse en sciences de l’information et de la communication. L’objectif est de comprendre et d’analyser les pratiques numériques professionnelles des professeurs des écoles élémentaires après leur vécu du confinement. 

La question posée par cette recherche se résume en ces termes : que doivent les pratiques numériques professionnelles actuelles des professeurs des écoles à l’expérience vécue lors du confinement ?

S’il est encore tôt pour apporter des réponses définitives, ce texte propose une réflexion sur les premiers résultats d’enquêtes scientifiques menées par des chercheurs de différentes disciplines.

Pour cela, nous nous intéresserons d’abord au confinement comme fait social total (Mauss, 1924) et aux conditions qui caractérisent « l’éducation à distance d’urgence » (Bozkurt, 2020). Nous présenterons les arguments visant à comprendre les difficultés logistiques, institutionnelles et leurs conséquences pour les enseignants face à cette crise avant de présenter les résultats des recherches centrées sur les inégalités d’accès et d’usage des enseignants face aux techniques numériques pendant le confinement. Nous aborderons ensuite les travaux centrés sur les stratégies d’autoformation aux techniques numériques des enseignants pour conclure sur les perspectives ouvertes par ces résultats afin de penser l’appropriation des techniques numériques à la suite de la pandémie et ses possibles conséquences pour l’éducation en France.

Le confinement du "fait social total" à " l'éducation à distance d'urgence"

Du fait de leur portée internationale, de leur caractère inédit et de leur durée, la crise sanitaire et le confinement ont marqué le système éducatif. En cela, la crise Covid est un « fait social total » (Mauss, 1924) car elle touche « la totalité de la société et de ses institutions [...] ».

Pour l’Éducation nationale, le confinement fait « événement » au sens d’Arendt, il forme « un paysage inattendu, d’actions, de passions et de potentialités neuves » (Arendt, 1990). Ce paysage est celui de la massification et de la généralisation d’un type d’enseignement inédit : une « éducation à distance d’urgence » qui n’est pas l’enseignement à distance (EAD) (Bozkurt et al., 2020). Cette situation a conduit les enseignants à recourir aux techniques numériques désignées, prescrites ou parfois choisies hors du cadre institutionnel pour assurer le maintien du lien pédagogique avec les élèves.

La mise à distance et la logique subtitutive

Les pratiques professionnelles des enseignants, médiatisées par les techniques numériques ou non, ont temporairement été modifiées après la fermeture des établissements.

Toutefois, la mise à distance des élèves et les prescriptions institutionnelles d’urgence ont été imposées sans formation préalable – ce qui est propre à la dimension inédite de la situation – et sans consensus sur la marche à suivre concernant l’ingénierie pédagogique nécessaire pour la réalisation d’activités pédagogiques à distance. Rappelant la proximité entre le plan de continuité pédagogique et les plans de continuité des activités propres à répondre aux conséquences des crises pour les entreprises, Jean-François Cerisier (2020) note que les outils présentés et prescrits par l’institution pour assurer la continuité des apprentissages visent « à reproduire au mieux à la maison les conditions d’apprentissage au sein des établissements scolaire », soulignant alors une forme d’impréparation pédagogique dans l’accompagnement des élèves et des enseignants pendant le confinement. 

Des inégalités d'accès et d'usages pour les élèves comme pour les enseignants

Les inégalités d’usage et d’accès des techniques numériques par les élèves pendant le confinement ont été analysées par Sébastien Goudeau et ses co-auteurs (2021). Agrégeant plusieurs résultats issus d'enquêtes par questionnaires, les auteurs expliquent qu’un apprentissage moins dépendant des enseignants et reposant principalement sur les familles et les équipements numériques favorise et amplifie l’écart des inégalités de classe (Goudeau et al., 2021). 

Ces inégalités existent aussi du côté des enseignants. Dans l’enquête par questionnaires et par entretiens intitulée CAPUNIcrise réalisée par les équipes du réseau M@rsouin, Pascal Plantard (2021) note que certains enseignants font face à des situations de conflits de légitimité entre la forme scolaire telle qu’ils la pratiquent d’habitude, et celle qu’ils ont dû mettre en œuvre pendant le confinement. 

Dans la continuité de ces résultats, l’enquête ERCCP et Feirouz Boudokhane-Lima et ses co-auteurs (2020) font état d’une « double “fracture numérique” : l’une d’origine technique (Gardiès, 2011) relative à l’accès aux outils idoines [qui conviennent aux usages visés], et une liée au manque de formation se traduisant par un déficit de compétence face au numérique » (Boudokhane-Lima, 2020).

Dans cette enquête par questionnaire en ligne adressée à tous les professionnels de l’éducation de l’académie de Besançon – dont 51 % des répondants sont des enseignants du 1er degré –, les auteurs pointent l’ambivalence des pratiques numériques des professeurs des écoles afin d’assurer le maintien de la « continuité pédagogique ». Le recours aux techniques numériques prend alors la forme d'un pharmakon (Stiegler, 2007 ; Cerisier et al., 2022).

À la fois remède et poison, les techniques numériques permettent d’accomplir des activités jusqu’ici empêchées, mais peuvent conduire à des situations d’échecs ou à des risques psychosociaux. Cette ambivalence cristallise la position difficile dans laquelle certains professeurs des écoles se sont trouvés en mars 2020, la nécessité du maintien des activités pédagogiques par les techniques numériques et les risques liés aux activités numériques intenses. Des activités non-préparées pour lesquelles le déficit de formation et de compétence reste une source d’inquiétude pointée dans les différentes enquêtes présentées.

L'autoformation des enseignants et le confinement comme apprentissage expérimentiel

Face à cette impréparation tant conjoncturelle que structurelle (Cerisier, 2020), l’enquête de l’Ifé réalisée par Diane Béduchaud & Élodie Leszczak (2020) rapporte que 85 % des 2 765 répondants du 1er et du 2nd degré de 30 académies déclarent « avoir mené des activités de veille, de formation, et de collecte d’information avec autant ou davantage de régularité pendant cette période ».

L’étude menée par Feirouz Boudokhane-Lima nous explique par ailleurs que l’adaptation à la distance a pu entraîner une forme de transposition du modèle présentiel, une transposition « épuisante [...] et plus stressante pour les enseignants novices ou peu expérimentés en matière de formation à distance » (Boudokhane-Lima et al., 2021). Ces « transpositions » sont également pointées par les enseignants et les articles consacrés à cette période, mettant en avant les « bricolages » effectués pendant le confinement (Villiot-Leclercq, 2020).

En s’interrogeant sur les possibles changements des pratiques pédagogiques enseignantes, Laure Sochala (2021) a mené des entretiens et des observations de classe auprès d’enseignants du 1er degré.

Détaillant l’importance que les enseignants accordent à l’anticipation, elle écrit :

« Plus globalement, confinement et enseignement à distance conduisent à davantage anticiper. Cette prise de conscience […] témoigne finalement du peu de temps qui a été accordé aux enseignants pour un retour réflexif sur leurs pratiques et l’impact du confinement sur celles-ci. » (Sochala, 2021).

Cette analyse permet de repenser la période vécue par les enseignants comme un ensemble d'expériences susceptibles de conduire à des apprentissages professionnels.

Cependant, ces expériences, décrites comme solitaires, parfois tâtonnantes, nous rappellent que l’expérience n’amène pas systématiquement un apprentissage. Les travaux de David Kolb (1984) sur l’apprentissage expérientiel établissent différentes étapes nécessaires à l’apprentissage par l’expérience : l’expérience concrète – vécue individuellement ; la mise en perspective des situations vécues ; l’établissement de règles et de concepts généraux ; et enfin la réutilisation du savoir construit et adaptable à de nouvelles situations (Kolb, 1984). Les entretiens conduits par Laure Sochala mettent en évidence les difficultés d’objectivation induites par le manque de temps donné aux enseignants pour penser leurs expériences pédagogiques et leurs pratiques numériques à l’issue du confinement.

Conclusion

Aujourd’hui, les recherches menées sur le confinement de mars 2020 s’accordent sur la dimension massive et inédite de « l’éducation à distance d’urgence » (Bozkurt, 2020). Plusieurs éléments ressortent de ces recherches.

D’abord, cet événement a entraîné une reconfiguration ponctuelle de la forme scolaire vers l’espace familial (Ria et Rayou, 2020), entraînant de nouvelles manières de faire classe pour les élèves comme pour les enseignants et développant des relations de proximité avec les familles. Ensuite, ces relations ont mis en évidence des inégalités d’équipement et d’usage qui participent aux inégalités sociales déjà connues et documentées avant le confinement (Blanchard-Schneider A. et al., 2018 ; di Paola et al., 2016). Enfin, avec ce passage d’un mode présentiel à un mode distanciel d’urgence, les enseignants participant aux enquêtes citées ont formulé les difficultés et les craintes liées à cet événement épuisant et stressant. Le manque de formation aux techniques numériques et les modalités de formation continue sont des demandes fortes exprimées (Cerisier et al., 2022), d’autant plus que l’expérience vécue et les pratiques numériques associées restent « très largement jugées comme non transférables vers une situation ordinaire » (Cerisier et al., 2022).

Riche d’expériences variées et personnelles, cette étude met en lumière le fait que pour comprendre ce que doivent aujourd’hui les pratiques numériques professionnelles des enseignants au confinement, il est nécessaire de prendre en compte les conclusions des recherches présentées mais aussi de prendre le temps de reconsidérer les situations vécues et l’expérience ordinaire dans une perspective compréhensive (Massou, 2021) afin d’observer les activités conduites aujourd’hui en classe, les pratiques pédagogiques et numériques ainsi que les objectifs formulés et poursuivis par les enseignants. Cela, afin de suivre les possibles évolutions des pratiques numériques professionnelles enseignantes et d’apprécier dans la durée les mécanismes d’appropriation ou d’abandon des techniques numériques utilisées après l’expérience du confinement.

Auteur : Théo Martineaud, doctorant en sciences de l’information et de la communication à l’unité de recherche TECHNÉ (20297) de l’Université de Poitiers.
Article publié sur le site : Comment interroger l'appropriation des techniques numériques par les enseignants après la crise sanitaire ? - Réseau Canopé (reseau-canope.fr)

Recommandations

  • Repenser la période vécue par le récit d’expérience et la formulation explicite des priorités pédagogiques établies par les enseignants pendant le confinement.
  • Participer à des formations consacrées à l’ingénierie pédagogique et à la formation à distance pour repenser la question pressante du « Comment faire ? » dans un cadre différent de celui du confinement.
  • Maintenir et développer les relations entre les membres de la communauté éducative afin de connaître les situations des élèves, de maintenir la continuité des apprentissages, mais aussi de faciliter l’accompagnement des enseignants et des équipes pédagogiques sur le plan psychosocial.

Voir aussi

Bibliographie

Articles et ouvrages :

  • Arendt H. (1953), « Compréhension et politique », Partisan Review, in Esprit, n° 42, vol. 6, 1980.
  • Bonnéry S. & Douat E. (2020). L’éducation au temps du coronavirus. Paris: La Dispute.
  • Boudokhane-Lima F., Felio C., Lheureux F., Kubiszewski V. (2021), « L’enseignement à distance durant la crise sanitaire de la Covid-19 : le faire face des enseignants en période de confinement », Revue française des sciences de l’information et de la communication, n° 22.https://doi.org/10.4000/rfsic.11109
  • Bozkurt A., Jung I., Xiao J., Vladimirschi V., Schuwer R., Egorov G., Lambert S., Al-Freih M., Pete J., Olcott Jr. D., Rodes V., Aranciaga I., Bali M., Alvarez A. V., Roberts J., Pazurek A., Raffaghelli J. E., Panagiotou N., Coëtlogon P. (de), (…) Paskevicius M. (2020), A global outlook to the interruption of education due to Covid-19 pandemic : Navigating in a time of uncertainty and crisis.https://doi.org/10.5281/ZENODO.3878572
  • Caron P.-A. (2021), La mise en place de l’enseignement à distance au temps de la pandémie, Revue internationale des technologies en pédagogie universitaire/International Journal of Technologies in Higher Education, vol. 18 (n° 1), 102‑113.https://doi.org/10.18162/ritpu-2021-v18n1-10
  • Cerisier J.-F. (s. d.), « Covid-19 : heurs et malheurs de la continuité pédagogique à la française », The Conversation. Consulté 28 avril 2022, à l’adressehttp://theconversation.com/covid-19-heurs-et-malheurs-de-la-continuite-pedagogique-a-la-francaise-133820  
  • Gardiès C. (2011), « Culture de l'information, culture informationnelle », C. Gardiès (dir.), Approche de l'information documentation. Concepts fondateurs, Toulouse, Cépaduès, p. 187-208.
  • Goudeau S., Sanrey C., Stanczak A., Manstead A. et Darnon C. (2021), “Why lockdown and distance learning during the Covid-19 pandemic are likely to increase the social class achievement gap”, Nature Human Behaviour 5(10), p. 1 273‑1 281. doi : 10.1038/s41562-021-01212-7.
  • Kolb D. (1984), “Experiential learning. Experience as the source of learning and development”, in Journal of Business Ethics (vol. 1).
  • Massou L. (2021), « Pour une approche compréhensive de l’analyse des usages du numérique en contexte professionnel. Le cas de l’enseignement supérieur », HDR, Université de Lorraine.https://halshs.archives-ouvertes.fr/tel-03113900
  • Mauss M. (1925), Essai sur le don. Forme et raison de l’échange dans les sociétés archaïques, L’année sociologique, nouvelle série, 1, 1925
  • Perret D. et Plantard P. (2020), « Pratiques numériques des enseignants en Bretagne pendant le confinement. Analyse anthropologique des premières données qualitatives et quantitatives ». Formation et profession, vol. 28 (n° 4 hors-série), p. 1-12. http://dx.doi.org/10.18162/fp.2020.686 
  • Pirone F. (2021), « School closures in France in 2020: Inequalities and consequences for perceptions, practices and relationships towards and within schools », European Journal of Education, vol. 56 (n° 4), p. 536‑549.https://doi.org/10.1111/ejed.12479
  • Plantard P. (2021a), « Éducation et inclusion numériques en temps de confinement », Annales des Mines, n° 14.
  • Plantard P. (2021b), « Le grand confinement de 2020 », Administration et Éducation, n° 169 (1), p. 125‑130.
  • Plantard P. (2014c), Anthropologie des usages du numérique, HDR, Université de Nantes.
  • Ria L. & Rayou P. (2020), « La forme scolaire en confinement : enseignants et parents à l’épreuve de l’enseignement à distance », Formation et profession, vol. 28 (n° 4), p. 1‑11.https://doi.org/10.18162/fp.2020.675
  • Sochala L. (2021), « Comment le confinement a changé les pratiques des enseignants ? », Les Cahiers pédagogiques, coll. « Hors-série numériques », n° 57.
  • Stiegler B. (2007), « Questions de pharmacologie générale. Il n’y a pas de simple pharmakon », Psychotropes, vol. 13, p. 27-54.
  • Vidal M. (2020), « L’enseignement à distance, trait d’union en temps de pandémie. Un regard sur les publications scientifiques sur l’EAD, de février à novembre 2020 », Distances et médiations des savoirs/Distance and Mediation of Knowledge, n° 32.http://journals.openedition.org/dms/5721
  • Villiot-Leclercq E. (2020), « L’ingénierie pédagogique au temps de la Covid-19 », Distances et médiations des savoirs/Distance and Mediation of Knowledge, n° 30.https://journals.openedition.org/dms/5203#tocto2n1 

Rapports d’enquêtes universitaires :

Rapports d’enquêtes institutionnelles :

  • MENJS DEPP, Barhoumi M., Blouet L., Charpentier A., Cristofoli S., Frechou H., Hubert T., Lasoni E., Lermite A., Michaudon H., Moyere R., Odin-Steiner D., Raffaelli C., Stefanou A., Solnon A., Touahir M., Traore B., Wuillamier P. (2020), « Continuité pédagogique. Période de mars à mai 2020. Document de travail n° 2020-E03 – Juillet 2020 », Enquêtes de la DEPP auprès des familles et des personnels de l’Éducation nationale. Premiers résultats.
  • DRDUNE Réseau Canopé, Rakotomalala Harisoa N.-A. (2020), Pratiques, confinement et besoins en formation des enseignants.
  • MENJS IGÉSR, Hazard B., Cavaillès J.-A., Carroué L., Gaubert-Macon C., Loeffel L., Mathias P., Schmitt J.-M., (2020), Rapport à Monsieur le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports. Les usages pédagogiques du numérique au service de la réussite des élèves. Les usages pédagogiques du numérique en situation pandémique durant la période de mars à juin 2020.
  • IFé ENS, Béduchaud D. & Leszczak E. (2020), Les Effets du confinement sur l’activité des enseignants du primaire et du secondaire.
  • CNESCO, di Paola A., Jellab A., Moullet S., Olympio N., Verdier N. (2016), Comment l’école amplifie les inégalités sociales et migratoires ?
  • CNESCO, Blanchard-Schneider A., Botton H., Miletto V., Caro P. (2018), Éclairage sur certaines des inégalités scolaires d’origine territoriale en France.

Communication gouvernementale : 

Dernière modification le jeudi, 23 mars 2023
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Les usages du numérique éducatif : L'Agence nationale des usages du numérique éducatif est un site web de référence qui vise la compréhension des enjeux liés à l’évolution des pratiques professionnelles des enseignants dans un contexte numérique. Cette publication présente une veille sur les outils, ressources, services pédagogiques numériques pour l’Éducation, des résultats de la recherche internationale, des expériences d’utilisateurs dans la conduite des actions d’enseignement et d’apprentissage et une observation en continue des processus « usages » mis en œuvre dans le cycle de vie des projets technico-pédagogiques.

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