Avec plus de 600 programmes à l’étranger, l’enseignement supérieur français s’exporte bien mais reste loin derrière les pionniers anglo-saxons. Un retard concurrentiel qui traduit l’absence de stratégie affirmée des établissements.
Au-delà des emblématiques Sorbonne Abou Dhabi ou HEC Paris au Qatar, que sait-on du déploiement à l’international des écoles et des universités françaises ? Pas grand-chose.
Ce rapport a donc le mérite de venir combler une lacune en dressant un panorama exhaustif de l’offre française à l’étranger. Mais aussi l’avantage de proposer plusieurs stratégies possibles pour qu’au retard concurrentiel de l’enseignement made in France ne succède pas l’effacement.
Dernière modification le vendredi, 08 décembre 2017