Hervé Fischer fait partie des philosophes qui ont le bel avantage d’éclairer les bouleversements sociaux et culturels que nous vivons aujourd’hui et de nous dessiner un avenir possible. Depuis ses débuts, l’humanité réalise des progrès et des gains, par sauts qualitatifs et révolutions néguentropiques, entre deux reculs ou catastrophes. Alors que nous pourrions être tentés par un pessimisme largement répandu, Hervé Fischer aborde ce qu’il appelle le « choc du numérique » comme une crise majeure, mais positive, qui nous oblige à choisir entre le pire et le meilleur. Le temps présent est celui de l’écartèlement entre les risques de l’aliénation finale et les chances de libération à saisir, après les avoir analysées, en avoir débattu et les avoir traduites en saines politiques de développement collectif. Le monde change, à haute vitesse, et nous pourrions y trouver les occasions d’y mieux vivre et d’y mieux être :
Dernière modification le vendredi, 08 décembre 2017Le passage de l’âge du feu à l’âge du numérique demeure ambivalent, en ce sens que le progrès qu’il nous fait espérer dépendra de l’usage que nous ferons de sa présence.
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Auteur : Jean Carette