Des centaines de participants ont suivis dans le Palais de l’UNESCO et via le site de Netexplo – www.netexplo.com  et les réseaux sociaux,  la 10^ème édition du Forum « Netexplo observatory » les 26, 27 et 28 avril 2017 pour saisir les 10 innovations digitales qui vont transformer nos vies.

Pour son premier Carnaval Numérique, il s’agissait pour l’An@é, carn@val oblige, de bouger les lignes, d’évoquer quelques perspectives transgressives pour l’éducation.

Les dernières années se sont passées à décrier,  expliquer, encenser, rejeter, essayer, s’interroger, polémiquer…Pour ou contre le numérique en classe ? Informatique et numérique, le danger des écrans, la perte des savoirs, de la mémoire, le " zap " intellectuel,  le danger pour la démocratie…Et puis pour ou contre les tablettes,  les Tableaux Interactifs, les jeux sérieux, les robots…Ce numérique là est mort.

Les « innovateurs » de notre pays sont des acteurs actifs du changement parce qu’ils expriment explicitement leur points de vue, qu’ils proposent des solutions, qu’ils expérimentent des situations nouvelles et innovantes, qu’ils apprennent via les réseaux, les actions communes, les collaborations, les créations de ressources ancrées dans les pratiques.

La première édition du Grand Barouf numérique, les 9 et 10 mars à Lille a été organisée par la Métropole Européenne de Lille (MEL), en phase avec OuiShare et P.O.P. et avait comme objectif d’analyser la transition numérique qui impacte les territoires en suscitant inquiétudes et espoirs en offrant un lieu de rencontres improbables pour tous les acteurs qui feront le territoire de demain.

Par Dominique Pialot sur LaTribune.fr :  Des plus en plus impliquées dans la collecte et le traitement des données, les collectivités y trouvent un regain de pouvoir. Mais elles font aussi face à de nouveaux enjeux encore mal connus.

La transition numérique qui impacte nos territoires suscite espoirs et inquiétudes : entre l’euphorie technologique de la Silicon Valley et l’angoisse d’un monde déshumanisé soumis à un contrôle général, c’est un véritable dialogue de sourds qui s’est instauré.

Une thèse répond plutôt par la négative. (ToutEduc).Publié par OZP.fr. La faiblesse de la dimension politique des projets éducatifs locaux est l’un des points marquants de la thèse de sociologie que Véronique Laforets a soutenue l’an dernier à Grenoble.