Mais échouer n’est pas couler.
Apprendre à le transformer comme au rugby
La réussite se mesure souvent très tard
Chemins
Méthode
Même mot
Combien d’élèves
Combien de profs
Lui ont conféré la puissance qui dissimule l’appel du vide
La perte du désir
Echouer comme un bateau sur le rivage
Se perdre en chemin c’est se retrouver quelque part
Là où on ne s’y attendait pas…
Sur la rive
Sur le seuil…
« Te rends-tu compte à ton tour, Ménon, de la marche que celui-ci a déjà accomplie sur la route de la réminiscence ? » (84a).
Etre en chemin, c’est déjà savoir qu’il y a sens à y être, et nécessité de tout faire
pour arriver au bout. Le cheminement, c’est l’ordre du raisonnement, mais aussi les digressions, les ruptures…suivons la leçon du Ménon de Platon…les chemins peuvent ne pas être droits. Le cheminement crée le chemin, la méthode…A chacun de cheminer, de se mettre en route.
Il y a des tentatives pour ressaisir le sens de ce que nous vivons..
Je ne pense pas qu’un plan en trois parties permettra de mieux comprendre cette réalité que nous vivons.
Des mots me guident
Ils sont liés à cet imaginaire de la banlieue
Philosophie des Lumières..
Je pense au Petit Prince…et à l’allumeur de réverbères
Il y a là quelque chose de désuet
Une autre planète
Je parlais un soir avec mon fils
Au collège
Il me racontait l’école…
L’école c’est la souffrance
Les cours sont longs
L’école c’est le lieu du savoir
L’école c’est le temps
Les cartables qui pèsent le rappellent
Que dire d’autre ?
J’aime bien y aller
Même si ce n’est pas toujours drôle
Comme le disait le Petit Nicolas…
Paroles prises au vent un soir
Pendant que j’écrivais ce livre…
J’écoutais alors cette imagination
Je la traquais
J’écrivais ……..