Pourtant, nous avons l’habitude de considérer l’erreur comme une faute, et la sanctionner comme telle. Or l’erreur arrive quand on fait, quand on teste. Et c’est en faisant que l’on apprend. Donc l’erreur fait partie de l’apprentissage.
Sanctionner l’erreur, on le fait par une mauvaise note. Mais pas seulement, parce que finalement, avec la mauvaise note vient parfois un commentaire n’encourageant pas à se relever de sa faute, à reprendre ses compétences acquises pour aller en acquérir de nouvelles.
Quand on parle d’erreur on parle d’action qui a été menée au départ en pensant bien faire mais qui a échoué par rapport à l’objectif fixé. Il ne s’agit pas ici d’un manque de travail ou d’implication, ce qui est autre chose.
L’évaluation positive, c’est mettre de la bienveillance dans l’apprentissage et dans l’enseignement. Pour apprendre et enseigner dans la sérénité.
L’évaluation positive, c’est intégrer d’autres critères : évaluer la participation, l’entraide, l’implication. C’est donc valoriser le travail. Encourager les efforts.
http://www.ac-besancon.fr/IMG/ppt/evaluation_positive.ppt
http://eduscol.education.fr/experitheque/fiches/fiche9257.pdf
http://www.reseau-canope.fr/innovation2014/levaluation-positive.html?tx_cndpvideoflv_pi1[idvideo]=44
http://sicestpasmalheureux.com/2014/06/25/levaluation-positive-oui-mais-comment/ :
« Pour moi, évaluer un élève c’est lui donner l’opportunité de montrer qu’il a acquis une compétence, un savoir ou un savoir-faire, tout simplement. L’évaluer positivement c’est valoriser ce qu’il sait et l’encourager et l’aider à aller vers ce qu’il ne sait pas. »
Dernière modification le jeudi, 26 novembre 2015