Si certains départements continuent en ce sens, plusieurs ont fait marche arrière après avoir testé l’équipement individuel.
Ils sont passés sur des formats de classes mobiles, qu’il s’agisse de tablettes ou d’ordinateurs. Quels que soient les choix et les étapes de déploiement, il ne fait pas de doute que les référentiels d’équipement évoluent vers des terminaux mobiles : des machines qui viennent dans la classe, pour un usage ponctuel, plutôt qu’un déplacement des élèves vers des salles dédiées. L’élève est bien entré dans l’ère du numérique et ne se déplace plus pour « faire de l’informatique ».
L’équipement un terminal pour un élève le (1:1) qui permet un accès immédiat aux ressources, reste l’objectif ultime.
Toutes les métaphores sont possibles pour plaider en sa faveur : du crayon, à la calculatrice, en passant par le manuel, on n’imagine plus un élève partageant son stylo, son livre scolaire ou sa calculette. Pourtant, même si les coûts d’acquisition des terminaux diminuent (Google avec son Chrome s’y emploie activement), les collectivités s’interrogent légitimement : est-il raisonnable de continuer à équiper massivement les établissements alors que les élèves le sont de plus en plus à titre personnel ?
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Dernière modification le mardi, 24 octobre 2017http://www.avicca.org/actualite/le-byod-est-ce-vraiment-le-plan-dapres-0