- L’éducation des filles : l’UNESCO continuera de mener une coalition mondiale multipartite pour soutenir l’éducation des filles dans le sillage de la pandémie de COVID-19, en fournissant à 28 millions d’élèves dans plus de 80 pays un accès à un enseignement et un apprentissage de qualité, qui encouragent l’égalité des genres ;
- La technologie et l’innovation : l’UNESCO s’efforcera de combler le fossé numérique lié au genre, de donner aux femmes scientifiques les moyens d’agir et de promouvoir l’utilisation éthique de l’intelligence artificielle, sans préjugés ni sexisme. Ainsi, par exemple, elle permettra à 10 000 femmes physiciennes d’exercer des fonctions de premier plan et à au moins 10 000 jeunes filles en Afrique d’accéder à des études sur les microsciences ;
- La créativité : l’UNESCO visera à rendre les femmes artistes et celles qui travaillent dans les industries créatives en Afrique économiquement indépendantes, en améliorant leur accès au public, aux fonds et aux systèmes de protection sociale et en augmentant le nombre d’entreprises d’industries créatives détenues et dirigées par des femmes. Elle compte également promouvoir le droit des femmes à créer, sans subir ni violence, ni sexisme, ni harcèlement sexuel.
Pour l’UNESCO, l’égalité des genres est une priorité mondiale, qui touche tous ses domaines de compétence : l’éducation, la science, la culture et la communication.
Dernière modification le vendredi, 02 juillet 2021Lire la suite du l'article : https://fr.unesco.org/news/education-science-culture-lunesco-sengage-facteurs-cles-legalite-genres