Le programme Fulbright en France propose plus d’un million de dollars de bourses, aux étudiants (Bac + 3 minimum) et chercheurs français désireux de se rendre aux Etats-Unis entre août 2016 et juin 2017 pour y développer pleinement leur projet et leur potentiel.
La compétition commence à partir du 5 septembre 2016 sur le site de la Commission franco-américaine (Fulbright) : www.fulbright-france.org.
Que ce soit pour promouvoir votre langue et votre culture, initier de nouvelles coopérations, découvrir et partager des techniques ou des savoirs nouveaux, explorer des domaines en pleine mutation ou tout simplement vous former dans un contexte international, c’est à une expérience profondément marquante que le programme Fulbright vous convie. Une expérience qui aura un impact durable sur votre trajectoire personnelle et professionnelle et qui vous ouvrira de nouveaux horizons. A vous de relever le challenge.
« Le processus est compétitif mais ouvert, avec des taux de sélection qui tournent autour de 4 à 10 candidats par bourse selon les programmes, déclare Arnaud Roujou de Boubée, directeur de la Commission. Les chances de succès sont plutôt plus élevées pour les bourses doctorales et les postes d’assistants de langue. » Le montant des bourses varie en fonction des projets. Il peut dans certains cas atteindre 45 000 $. Tous peuvent donc envisager de concrétiser leur rêve américain.
Deux dates-limites :
- 1er décembre 2016 pour les étudiants et les assistants
- 1er février 2017 pour les doctorants et les chercheurs
« Commencez dès que possible à identifier les programmes américains qui vous intéressent, contactez leurs responsables, conseille Arnaud Roujou de Boubée. Plus votre argumentaire sur l’adéquation de la formation envisagée à votre projet sera précis, plus vos chances d’être retenus augmentent. »
Pour les postes d’assistants Aude S., lauréate qui s’est rendue dans l’Indiana, ajoute : « La procédure de candidature demande du temps et de l’énergie : un dossier de candidature comprenant 3 essais en anglais, 3 lettres de recommandation, un CV en français et en anglais, le TOEFL, une traduction des relevés de notes de licence, mais cela vaut le coup de s’investir. Prenez-y vous bien à l’avance”.
Le centre EducationUSA à la Commission possède toutes les ressources pour aider les candidats à être spécifiques dans leur choix d’université d’accueil. Consultation en ligne ou rendez-vous sur place seront très utiles à la préparation du séjour américain. Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Pour une liste des lauréats français 2016-2017 : cliquer ici.
Créé en 1946, par le sénateur américain qui lui a donné son nom, le programme Fulbright existe aujourd’hui dans 160 pays, compte 360 000 anciens et 54 prix Nobel. En France il existe depuis 1948 et est co-financé par le gouvernement américain (département d’Etat américain) et le gouvernement français (ministère des affaires étrangères et du développement international) ainsi que par un nombre croissant de partenaires publics et privés Il constitue l’un des outils bilatéraux les plus efficaces au service du renforcement des liens universitaires et culturels entre la France et les Etats-Unis. Il s’est considérablement diversifié depuis sa création.
Aujourd’hui, il offre des postes d’assistants de français dans des universités américaines à des étudiants de tous profils, soutient des artistes, finance des études au niveau master, des séjours de recherche de 3 mois à un an dans presque toutes les disciplines. Il finance également le séjour de chercheurs et d’étudiants américains désireux de se rendre en France sur un budget équivalent. Il privilégie la formation et la recherche de ceux qui souhaitent contribuer au dialogue entre les peuples, à la lutte contre les préjugés, au progrès des connaissances, à la diffusion des savoirs, à la recherche de réponses aux défis de notre temps, qu’ils soient environnementaux, sanitaires, techniques, politiques, économiques ou sociaux.
Contact candidats : Madeleine Bouvier d’Yvoire, responsable des programmes français, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
