Car cet assèchement des échanges devient insoutenable pour beaucoup d’entre nous.
Mais s’ajoutent à ces mesures sanitaires de distanciation, des mesures qui limitent notre accès au monde social et ses saveurs: la peur d’aller dans la rue pour manifester ainsi que ces insensés débats autour de l’interdiction de filmer le visage des policiers ou tout autre élément d’identification, alors que le visage est un accès inestimable à l’expérience de la responsabilité morale, créent une atmosphère aussi confuse qu’oppressante. En Allemagne, rappelons que les policiers sont identifiés par des matricules qui apparaissent visiblement au dos de leurs uniformes.
Lire la suite de l'article publié sur www.huffingtonpost.fr/le 23/01/2021
Dernière modification le dimanche, 24 janvier 2021