S’interroger sur l’opportunité d’enseigner une seconde langue semble anachronique à un moment où nous savons l’avantage comparatif de connaître plusieurs langues. Pour les admissions dans les filières sélectives post-bac, pour l’insertion sur un marché du travail de plus en plus internationalisé, mais aussi, et peut être avant tout, pour le développement cognitif des enfants.
Lire la suite de l'article de Astrid von Busekist, Professeur des universités en science politique, Sciences Po publié sur The conversation (Creatice ommons) :
https://theconversation.com/la-france-un-rapport-complique-avec-les-langues-53851
Dernière modification le mardi, 02 février 2016