Le Département des Yvelines et la commune de Sartrouville ont mené conjointement le projet de création de la cité scolaire Sébastienne- Guyot, un équipement éducatif majeur au cœur d’une ville engagée dans une profonde mutation dans le cadre du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU).

Depuis sa création, le Salon des Maires est le lieu d’expression des territoires. Il accompagne les collectivités dans l’évolution de leurs missions, en anticipant les grandes transformations : transition écologique, longévité, attractivité, numérique, résilience, inclusion…Chaque édition fait écho aux enjeux concrets des communes, métropoles, intercommunalités, départements et régions.

Bienvenue dans la matinale Buissonnière, où nous avons le plaisir d'accueillir Éric Debarbieux. Éric est un éducateur, instituteur, et professeur émérite récemment retraité. Auteur de plusieurs ouvrages, il s'est particulièrement intéressé à la violence à l'école. Il a également été délégué ministériel auprès de plusieurs ministres.

La question des migrations sature le débat public dans un monde où la montée des nationalismes et les peurs identitaires qui mettent l’étranger à l’index, alimentent une rhétorique de submersion migratoire qui serait incontrôlable. C’est un sujet sensible, donc. Toutefois on peut l’analyser par une approche scientifique pluridisciplinaire tant la compréhension des migrations mobilise de multiples connaissances relevant des sciences naturelles et des sciences humaines : anthropologie, archéologie, démographie, économie, génétique, géographie, histoire, philosophie, sciences du climat, sociologie…

Ce que nous observons à travers des groupes avec lesquels nous travaillons c'est une souffrance dans les liens d'attachement. Beaucoup d'enfants, d'adolescents sont en grande détresse relationnelle, ne se sentent ni protégés, ni reconnus, ni rassurés. 

Ce texte se compose de considérations, de réflexions personnelles, une réaction, une hypothèse née de la lecture du livre dont la couverture est montrée ici. On y lit des récits étonnants, des histoires surprenantes portant sur des espèces singulières, uniques en leur genre.

Filmer, monter, publier des vidéos sur les réseaux sociaux est désormais une activité centrale dans la vie sociale des jeunes. Mais c’est aussi une activité complexe, voire dangereuse, notamment pour les jeunes femmes. Que filment-elles, que ne filment-elles pas et pourquoi ? Retour sur les enseignements d’une enquête.Laurent Tessier Professeur de sociologie - Virginie Tremion Enseignante et chercheuse en éducation sur Theconversation.