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Dans un livre publié en juin 2015 par les éditions La Découverte (« Classes préparatoires : une fabrique d’une jeunesse dominante »,), au terme d’une minutieuse étude réalisée auprès des principaux acteurs des CPGE (élèves, parents d’élèves, professeurs, membres d’équipes de direction …), Muriel DARMON, Directrice de recherche au CNRS, considère que fondamentalement, « les classes préparatoires constituent un appareil qui sert à former et transformer les élèves qui lui sont confiés », dans le but de les doter d’un portefeuille de connaissances et compétences qui les rendra aptes à franchir l’obstacle des épreuves auxquels ils seront confrontés lors des concours de fin de deuxième année,  puis durant leurs parcours en grande école, et dans la vie professionnelle.

L’auteur ajoute que « cette jeunesse qui travaille en prépa est aussi une jeunesse travaillée par la prépa. Travaillée, c’est-à-dire forgée, formée et transformée par son passage dans cette institution (…), apportant leur contribution à la fabrication d’une jeunesse dominante ».

Cela commence par la mise en œuvre des processus de sélection des entrants :

Les critères de sélection utilisés pour choisir les lycéens dont la candidature fera l’objet d’une réponse positive peuvent être considérés comme étant une façon de commencer à modeler la population des admis. Consciemment ou inconsciemment, les jurys sont chargés de ne recruter que des lycéens porteurs de certains attributs qui les rendent adaptables aux exigences académiques et comportementales des classes préparatoires.

C’est la raison pour laquelle les jurys en charge de la sélection des entrants sont fortement incités à ne pas se contenter du seul bilan scolaire. Comme l’écrivait le sociologue  Pierre Bourdieu dans « La Noblesse d’Etat », paru en 1989, ils y ajoutent les « dispositions » comportementales qui sont des conditions de la réussite en classe préparatoire, mais aussi dans les grandes écoles qui les recevront ensuite, et dans les entreprises et organisations administratives au sein desquelles ils feront carrière. Bien plus, ces « dispositions » doivent être considérées au sens large, c’est-à-dire y compris les valeurs dominantes qui règnent dans ces divers milieux sociaux.

2. Les cérémonies qui marquent l’entrée en première année :

Diverses cérémonies qui marquent les rentrées en première année, contribuent à la volonté de faire des classes préparatoires une institution dont les membres partagent certaines valeurs dominantes.

C’est notamment le cas des  « séminaires de pré-rentrée » et autres « soirées d’accueil des nouveaux  entrants », durant lesquels les « carrés » (élèves de deuxième année) reçoivent les «bizuths » (entrants en première année), dans le but pas toujours affiché de forger « une vision commune et partagée de ce que doivent se préparer à accomplir les nouveaux pendant deux ans afin de faire honneur à leurs prédécesseurs et à ceux qui les accompagnent, et de donner une bonne image de leur classe préparatoire, notamment en lui permettant, grâce à leurs bons résultats aux concours, de bien figurer dans les classements des CPGE », comme nous le déclare Jean-François Fiorini, qui fut Président du bureau des élèves de CPGE de son lycée.

Dans le même ordre d’idées, les « bizuths » (avec parfois leurs parents), sont invités à participer à diverses  réunions d’accueil organisées au sein du lycée. Ces réunions sont  empreintes d’un plus ou moins grand degré de solennité. Elles sont le plus souvent présidées par le chef d ‘établissement, accompagné de son ou ses adjoints en charge des classes préparatoires, et de l’ensemble des professeurs qui interviennent en prépa. Au cours de ces réunions, on insiste sur le fait que ces « bizuths » doivent être fiers de se retrouver dans un tel sérail, mais qu’en retour, ils doivent se montrer dignes  de la confiance qui leur a été exprimée. Pour cela, il leur faudra satisfaire l’équipe encadrante qui attend d’eux une conformité aux règles de vie quotidienne et aux exigences de travail. Ces réunions sont en outre l’occasion de mettre en avant divers conseils et consignes concernant la gestion du stress qui sera inévitablement ressenti, l’importance du travail autonome complémentaire, de l’accompagnement des préparationnaires par leurs familles, etc.

3.  La découverte et l’acceptation d’une pédagogie largement fondée sur la contrainte à travers les « colles » et devoir sur table (ou devoirs surveillés).

Très vite, après la rentrée en première année, les « bizuths » découvrent deux importants éléments caractéristiques du travail qui doit être accompli en CPGE, et les distingue de la plupart des autres parcours d’études supérieures : les « colles » et les DST (devoirs sur table) ou DS (devoirs surveillés).

Les « colles » sont des exercices préparatoires à l’expression orale, portant  sur des sujets qui sont aux programmes des divers enseignements, le plus souvent animés par des professeurs venus d’autres lycées ou du même lycée. Les DST ou DS permettent que les élèves  se familiarisent progressivement  avec les futures conditions réelles des épreuves écrites aux concours : chaque semaine, sur des horaires identiques à ceux de l’épreuve écrite correspondante, ils « planchent », ce qui, « en langue prépa » signifie qu’ils produisent une copie visant à traiter le sujet soumis. Le principe, aussi bien pour les « colles » que pour les DST (ou DS), est que le programme à réviser avant chaque séance est celui que les professeurs ont traité depuis l’entrée en première année. La charge va donc en augmentant au fur et à mesure que l’on se rapproche de la fin de la deuxième année.

Bien plus que des moments d’apprentissage purement académiques, ces exercices procèdent de logiques rituelles. Ils sont aussi des moments d’apprentissage de la gestion du temps et de soumission aux règles du classement puisque les notes attribuées à ces travaux sont fréquemment présentées de façon plus ou moins solennelle et collective, selon un ordre allant du meilleur au moins bon, dans le but de stimuler l’esprit de compétition : les meilleurs sont publiquement flattés, les moins bons subissent des critiques et se voient adresser des exigences d’amélioration. Enfin, s’inscrivant dans une logique de continuité des rythmes scolaires et de l’évaluation des préparationnaires, ces deux types d’exercices ajoutent à la volonté d’étaler  les efforts dans le temps, en inscrivant le travail à accomplir dans des rythmes longs et marqués par la périodicité.

4. Le conseil de classe en tant que lieu central du jugement de valeur des élèves :

Les conseils de classe qui se déroulent en fin de chaque trimestre ou semestre sont une autre façon de rythmer le temps de travail des élèves et leur évaluation. C’est particulièrement le cas du dernier conseil de classe de première année, au cours duquel se décide l’éventuelle autorisation de passage en deuxième année. Dans certains lycées, ce conseil de classe de fin de première année est aussi celui où se décide la répartition des élèves entre le groupe des meilleurs et les autres. Les premiers sont celles et ceux qui, en seconde année, seront regroupés dans des classes dites « prépas étoilées » ou « prépas étoiles », au sein desquelles ils/elles bénéficieront des prestations des meilleurs professeurs, suivront des programmes plus larges et approfondis, seront évalué(e)s de façon plus exigeante, et incité(e)s à viser les grandes écoles les plus réputées de leur secteur de formation.

Notons que les pratiques de constitution de « classes étoiles » font partie de   l’héritage historique des classes préparatoires d’antan. Comme bien d’autres pratiques pédagogiques distinctives, elles ont eu tendance à s’estomper tout au long de ces trente dernières années. Elles n’ont pour autant pas totalement disparu, notamment dans le cas des CPGE actuelles proposées par des lycées le plus souvent situés dans les centres de grandes villes, et qui sont parmi  les mieux positionnées dans les divers classements des prépas.

5. Existence d’une voie de relégation destinée aux élèves qui ne s’adaptent pas à ces exigences :

Pour les élèves qui ne parviennent pas à « entrer dans le moule », qui n’adhèrent pas aux contraintes et valeurs de l’institution classe prépa, qui « craquent », il existe une sorte de « voiture balais » comme on nomme au Tour de France cycliste le véhicule positionné en arrière du peloton, et permet de récupérer les coureurs qui ne parviennent pas à suivre les autres.

Pour remplir une telle fonction auprès de certains préparationnaires, chaque CPGE signe avec une ou plusieurs universités partenaires, une convention grâce à laquelle un(e) élève de première année de prépa peut se réorienter et rejoindre en cours d’année une première année de licence (L1), et ce sans perte de temps. C’est la raison pour laquelle, dans la plupart des cas, les élèves admis en première année de CPGE sont contraints de s’inscrire parallèlement en première année d’une licence. Ils sont alors exonérés de l’obligation d’assiduité en L1. Cette formule permet à l’institution « classe prépa » de ne conserver en son sein que des élèves formant un ensemble homogène, dotés d’un réel potentiel de réussite et qui affichent des résultats probants.

6. De la « violence pédagogique » au service des meilleurs d’hier, à la pédagogique de l’accompagnement de tous les préparationnaires d’aujourd’hui :

La « violence pédagogique » évoquée précédemment a longtemps caractérisé la plupart des classes préparatoires, héritières de l’esprit des collèges jésuites du XVIIIe siècle, puis des lycées napoléoniens créés dans les centres des grandes villes du pays.

Il en résulte une certaine forme d’héritage pédagogique que l’on retrouve, peu ou prou, dans divers lycées d’aujourd’hui. Ces traits caractéristiques des CPGE d’antan se sont si profondément inscrits dans l’inconscient collectif des équipes administratives et pédagogiques qui exercent dans ce type de lycées, qu’ils sont considérés comme étant toujours présents dans les prépas d’aujourd’hui, continuant d’exercer un effet de peur sur de nombreux élèves, et explique en partie de « désamour » actuellement constaté de la part de certains bons élèves de classes terminales, qui choisissent de renoncer à « cette voie d’études supérieures dans laquelle on demande aux jeunes beaucoup de sacrifices, alors qu’il leur est possible d’atteindre les mêmes objectifs d’admission en grande école en passant par des filières moins exigeantes, comme les IUT par exemple » (déclaration de  Michel Rostand, aujourd’hui cadre supérieur dans la finance, diplômé d’une grande école de commerce à laquelle il a accédé après un premier cycle en IUT).

Si la « violence pédagogique », caractéristique de la plupart des classes préparatoires d’antan, est indéniablement encore présente dans un certain nombre de classes préparatoires d’aujourd’hui, force est de constater qu’elle est désormais fortement retenue, y compris dans les lycées les plus traditionnellement marqués par la « culture prépa d’hier ». Les classes préparatoires, ce n’est donc plus ce que c’était, y compris dans les lycées traditionnels des centres de grandes villes ! Mais cela reste un monde au sein duquel l’exigence de travail est plus forte qu’ailleurs. Aujourd’hui, on n’y « casse » plus vraiment les élèves : on est progressivement passé du principe de la pression permanente et de la violence des pratiques pédagogiques quotidiennes, à une sorte d’éthique de la retenue et de la prééminence de la volonté d’accompagner tous les élèves vers la réussite.

7. Une évolution vers un modèle de formation de plus en plus accompagnateur, qui s’explique :

Plusieurs facteurs expliquent cet accroissement de la volonté d’accompagner tous les élèves vers une forme de réussite, plutôt que de maintenir le système ancien caractérisé par une politique constante d’écrémage des élèves afin d’extraire les meilleurs d’entre eux. Entre autres éléments explicatifs, nous retenons :

  •  Le fait que les voies d’accès aux grandes écoles s’étant multipliées, les professeurs et chefs d’établissements concernés ont réalisé que s’ils maintiennent la ligne dure d’antan, ils vont petit à petit perdre des « parts de marché », conduisant à des fermetures de certaines CPGE, et des pertes de postes. Notons sur ce point que ce mouvement de rétractation a commencé, et pourrait  s’amplifier.
  • De plus, la question du « remplissage » de chaque CPGE existante est devenue omniprésente : les recteurs, inspecteurs et responsables ministériels rappellent de plus en plus que le coût de la formation  d’un élève de classe préparatoire est le plus élevé. En 2022, d’après  le service statistique du Ministère de l’Education nationale, il se montait à 16800 euros par tête et par an, alors qu’il n’était que de 10800 euros à l’université pour un étudiant de première année du cursus licence. Devant le constat d’un tel coût, l’Etat estime de plus en plus être en droit d’avoir des exigences concernant le « retour » sur de tels investissements. Il est donc parfaitement logique que l’on demande aux équipes qui  encadrent les élèves de CPGE, de veiller à ce que les effectifs ne diminuent pas trop fortement, notamment durant la première année. Dans ce but, il convient de ne pas se laisser aller à la facilité qui consiste à se débarrasser au plus vite des « canards boiteux ».J’ai le souvenir que dans les années 1970/1980, époque durant laquelle j’enseignais en CPGE, il était relativement fréquent de voir certaines prépas démarrer la première année avec plus de 50 élèves. Lors des réunions d’accueil de début d’année scolaire, on prévenait les élèves qu’ils pourraient n’être qu’une trentaine après les vacances de Noël. C’était le règne du « marche ou crève ». Aujourd’hui, de telles pratiques de régulation des flux d’élèves se sont en grande partie effacées, sans pour autant que disparaisse l’esprit de compétition et l’exigence de grands efforts constants qui continuent de caractériser la plupart des CPGE d’aujourd’hui.
  •  Enfin, plusieurs réformes sont survenues, notamment au milieu des années 1990 et  dans les années 2000/2010, insistant sur la nécessité de voir les CPGE s’ouvrir à des recrutements d’élèves plus représentatifs de la diversité sociale. Dans ce but, il a été créé des nouvelles filières CPGE, réservées à des bacheliers jusque-là totalement ou largement exclus de ce type d‘études supérieures : les classes préparatoires réservées aux bacheliers technologiques et professionnels, les prépas ATS (adaptation techniciens supérieurs), et l’implantation de nouvelles CPGE dans des zones géographiques qui en étaient jusque-là largement dépourvues (ce qu’on a appelé les « prépas de proximité »).

Conclusion :

Quel avenir pour les grandes écoles ?

Dans sa « Note flash » N°2023-01 du mois de février 2023, le Service d’information et d’études statistiques (SIES) du Ministère de l’Education Nationale publie une étude faisant le constat qu’ « à la rentrée 2022, 81200 étudiants sont inscrits en classe préparatoire aux grandes écoles. Un effectif qui diminue (…) par rapport à la rentrée 2021 (- 2,6 %) ».  Dans cet ensemble, on note que les baisses concernent  les prépas économiques et commerciales ainsi que les prépas scientifiques. Par contre, les CPGE littéraires connaissent une situation inverse avec une légère progression (+ 0,2 %). De plus, cette tendance à la baisse des effectifs concerne principalement les CPGE dites « de proximité », c’est-à-dire celles qui sont localisées dans des petites villes, et figurent le plus souvent (mais pas toujours) en moitié ou dans le bas des classements des résultats aux concours, mais sont connues pour offrir malgré tout de bons débouchés à la plupart de leurs élèves. En outre, elle touche plus fortement les femmes (- 2,3% des admis en première année) que les hommes (- 0,9%). Bien plus, ces chiffres relatifs à la rentrée de 2022 s’inscrivent dans une série de cinq années consécutives de baisse globale des effectifs d’élèves admis en CPGE. Si on remonte plus loin dans le temps, on peut constater que c’est en 2010/2011 qu’après une longue période de croissance quasi continue des demandes d’admission en CPGE, et des effectifs qui y étaient admis, on a assisté à un premier retournement ouvrant une phase d’une dizaine d’années de stabilisation des effectifs, suivie, à partir de la rentrée 2018, par un  commencement de repli, accompagné de fermetures pour le moment très peu nombreuses, mais qui font craindre à certains que ce phénomène ne se multiplie dans l’avenir. Cette évolution des effectifs interpelle et soulève d’importantes questions. Quels sont les fondements de ce commencement de « désamour » à l’égard des CPGE ? Ce diagnostic établi, il y a matière à s’interroger sur la réaction qui pourrait être mise en œuvre afin de renverser la tendance.

Les facteurs qui pourraient expliquer cette baisse des demandes d’admission en CPGE sont divers. Posez la question aux professeurs qui enseignement dans ces classes, et vous constaterez que,  très majoritairement, ils mettent en avant la multiplication des cursus de formation qui, aujourd’hui, permettent de frapper à la porte d’une grande école. Dès lors qu’il devient possible pour un candidat à l’intégration dans une grande école de passer par d’autres itinéraires d’études (après le baccalauréat, au terme d’une licence, d’un bachelor, d’un BTS et autres), il est logique que la part des candidats à l’entrée en grande école qui sortent de CPGE régresse.  

De plus, nombre de ces autres voies présentent l’avantage, aux yeux de nombre de lycéens, de ne pas s’inscrire dans la logique d’effort intense et permanent qu’exigent les CPGE. « Pourquoi aller souffrir pendant deux ans en prépa, y sacrifier une grande partie des plaisirs qui s’offrent à la jeunesse, quand on peut escompter obtenir l’équivalent par des voies plus douces »,  nous déclare Claude C., professeur de sciences économiques et sociales à Lyon ?  Il faut prendre acte du fait que les nouvelles générations de lycéens ont beaucoup moins le sens du sacrifice que les précédentes. 

Autre caractéristique des CPGE qui fait l’objet d’interrogations, et alimente en partie les stratégies d’évitement de certains bons lycéens : le fait que ces formations proposent des programmes d’enseignements uniquement ou quasi uniquement composés d’enseignement généraux.

On a parfois du mal à comprendre pourquoi un tel choix ? Ne serait-il pas logique que les programmes d’enseignement d’une CPGE scientifique, économique et commerciale ou littéraire, proposent une initiation aux réalités professionnelles auxquelles les élèves seront confrontés lorsqu’ils rentreront dans une grande école ? Ne pourrait-on par exemple inclure de façon obligatoire un ou deux stage(s) de découverte professionnelle, qui seraient d’autant plus les bienvenus qu’ils permettraient de mieux se préparer à l’épreuve d’entretien de motivation (ou lettre de motivation), et de plus aisément résoudre le problème du choix de la ou des grandes écoles que l’on va s’efforcer d’intégrer en fin de deuxième année. Autre « ouverture » envisageable vers les réalités professionnelles : rééquilibrer les enseignements généraux et les enseignements de nature technologique au profit des seconds.

Une telle évolution nécessiterait une réforme en profondeur, et se heurterait sans doute à un refus de la part de certains  professeurs et d’une partie des chefs d’établissements disposant d’une ou plusieurs CPGE, très attachés à la volonté de baser sur de solides fondations théoriques  et académiques la construction des esprits des élèves passés par une CPGE.  A leurs yeux, c’est là une des conditions pour prétendre faire ultérieurement partie de l’élite. Toujours est-il que cela conduit une partie des bons élèves de classe terminale désireux d’intégrer une grande école, à préférer le modèle des « prépas intégrées » (grandes écoles à recrutement post bac) ou les procédures d’ « admission parallèles » d’après IUT, bachelor, BTS et autres diplômes professionnels de premier cycle de l’enseignement supérieur, ce qui constitue un autre facteur explicatif de la baisse constatée des demandes d’admission en CPGE.

Bruno MAGLIULO

Inspecteur d’académie honoraire

Conférencier

Ancien professeur de classe préparatoire aux grandes écoles

Agrégé de sciences économiques et sociales

Docteur en sociologie de l’Education

Auteur, aux éditions Fabert, de « Les grandes écoles : une fabrique des élites »

Et, aux éditions L’Opportun (collection L’Etudiant), de « SOS Parcoursup » et « Parcoursup : 50 questions que vous devez vous poser avant de choisir votre formation supérieure».

Dernière modification le samedi, 14 octobre 2023
Magliulo Bruno

Inspecteur d’académie honoraire -Agrégé de sciences économiques et sociales - Docteur en sociologie de l’éducation - Formateur/conférencier -

(brunomagliulo@gmail.com)

Auteur, dans la collection L’Etudiant (diffusion par les éditions de l’Opportun : www.editionsopportun.com ) :

  • SOS Parcoursup
  • Parcoursup : les 50 questions que vous devez absolument vous poser avant de choisir votre orientation post baccalauréat
  • Quelles études (supérieures) sont vraiment faites pour vous ?
  • SOS Le nouveau lycée (avec en particulier toute une partie consacrée aux liens entre les choix d’enseignements de spécialité et d’option facultative, et le règles de passage dans le supérieur)
  • Aux éditions Fabert : Les grandes écoles : une fabrique des meilleurs, mode d’emploi pour y accéder

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