Ce n’est pas ma spécialité, mais, par contre, mon questionnement est de savoir comment ils et elles font avec ce contexte compliqué. Entre des problématiques très différentes, les logiques économiques des plateformes que l’on dénonce à tout va, mais aussi les logiques dominantes pointées dans les médias, et des adolescents que l’on décrit comme étant isolés du monde et qui ne s’informent pas.
Quel(s) regard(s) sur les pratiques informationnelles ?
Comment saisir les pratiques informationnelles et comprendre leurs acteur-rices ?
La première question que pose le sujet c’est de se demander quel regard on porte sur les pratiques informationnelles des enfants et des adolescents. J’avais envie de commencer par une focale, que j’appelle une obsession, celle des RSN (Réseaux Sociaux Numériques).
Vous noterez la différence entre l'usage d'Internet pour s'informer et l'usage des RSN pour s'informer.
Les enquêtes (ici celle choisie de la fondation Jean Jaurès) attestent que l'usage d'Internet pour s'informer est devenu la norme. Mais vous avez sous les yeux une interprétation différente du même chiffre, explicité différemment, alors qu’il correspond toujours à la même réponse à la même question : 70 % des jeunes vont chercher l'information au moins une fois par mois sur les réseaux sociaux, ou encore 70 % des 15-25 ans qui s'informent grâce aux réseaux sociaux. Il y a comme un flou dans la façon dont l'information pour le coup est délivrée et, évidemment, ce qui m'intéresse (en dehors du fait de pointer scientifiquement que c’est un problème) c'est que l’on en conclut (enquête Jean Jaurès) que le risque d'une pratique qu’ils appellent informative est dans la bulle des RSN.
Quand on va rencontrer des adolescents (Victorien 17 ans, Lucie 13 ans, cf. diapo) on va découvrir des bulles informationnelles que l’on choisit, que l'on subit ou dont on hérite. En même temps cette focale obsessionnelle sur les RSN conduit à cette phrase qui est, je crois celle que j'entends le plus dans les établissements scolaires : « Pas d’information qui vient des réseaux sociaux, on ne peut pas faire confiance ! ». Sauf que les RSN ne sont pas une source. En fait tout dépend de ce qu'on y met : accéder par un titre de journal par un réseau social peut potentiellement retenir notre confiance.
Cette obsession de dire qu’ils ne s'informent que par les réseaux sociaux nous fait oublier la notion proposée par Yves Jeanneret de régime intermédiatique, qui se réincarne aujourd'hui. Dans l’enquête proposée (cf. diapo) ce sont plus de 200 ados qui répondent à la question sur l’usage des médias. Quel que soit le milieu social, quel que soient les établissements socio économiquement différenciés, et quelle que soit la classe, on voit le même trio de tête : la télévision (JT), les réseaux sociaux et le bouche à oreille. Ce qui veut dire que quand on passe par le prisme des RSN, on occulte un système d'information bien plus complexe vis-à-vis duquel on se situe. Je parle du journal télé et je l'évalue, je lui accorde éventuellement confiance en fonction d'un créateur de contenu mais aussi en fonction d'un média 100 % vidéo, ou en fonction de ma représentation de la presse écrite.
C’'est pour cela que cette focale est importante. Le regard que l'on porte en fait sur les jeunes et les ados conduit souvent à une culture de la défiance ou à cultiver chez eux une culture de la défiance. Une obsession de l'éducation aux médias est de lutter contre la désinformation, un peu comme quand on apprend à nos élèves les règles de grammaire : on lutte contre les fautes d’orthographe. Non, je crois qu'on œuvre pour la langue et, en fait, cela change tout : œuvrer pour l'information et lutter contre la désinformation c'est pas du tout le même objectif. On n'est pas du tout sur la même façon de se situer et on n’apprend pas forcément de nos erreurs. On continue en fait de travailler beaucoup au prisme des fake news et de la désinformation. L'éducation aux médias sous-entend encore souvent, voire majoritairement aujourd’hui, la question d'un agent qui est soumis à des logiques dominantes et d'un public qui n'est pas capable d'avoir un regard critique. Comme le disait Michel De Certeau en son temps, il est toujours bon de se rappeler qu'il ne faut pas prendre les gens pour des idiots.
Louise Merzeau, chercheuse en SIC, expliquait à quel point la fabrique de l'usager n'était pas si causale que cela : il y a des capacités de détournement et de questionnement par les acteurs des dispositifs.
Alors, évidemment le problème est qu'on est face à des jeunes. Tchekhov en son temps, grand sociologue de la jeunesse, nous expliquait, à travers le personnage de Macha dans la Mouette, combien la jeunesse était toujours dénigrée (cf. diapo). « Ah, la jeunesse », dit Macha, qui est clairement renvoyé dans ses cordes parce qu’elle est jeune. On n’étudie pas les jeunes comme on étudie une espèce étrangère mais on les étudie avec eux.
Je voulais juste en fait vous montrer d'où je parle. Vous avez là un certain nombre d'enquêtes qui sont menées sur du temps relativement long. On est à chaque fois a minima sur une année scolaire dans le cadre soit de projets pédagogiques, soit de recherche -action, soit de recherches distanciées avec et dans des classes.
Une recherche action avec des élèves vient de commencer autour de l'écosystème informationnel des ados en ST2S et en HGSP (filières générales, spécialité Sciences Po et filière sciences techniques, métier du social). Le but en fait est de travailler avec eux sur les ressources informationnelles convoquées et convocables pour leur avenir pro ou académique.
La recherche c'est aussi le temps long et une recherche que j'appelle « bonbon » d'où la couleur du diaporama. Cette recherche est menée depuis 2012 et consiste à suivre 12 jeunes de moins en moins jeune nés en 95-96. Depuis 2012 ils sont suivis en enquête individuelle. Cela permet aussi de mettre en perspective le discours autour des digitals natives ou du crétin digital, si vous préférez. Je pense que personne ne préfère ce terme. Cela permet de suivre aussi ce que l'on dit de cette génération sur un temps plus long et que l’on met en perspective du coup aujourd'hui.
Faire avec l’information : un défi quotidien
Comment enfants, adolescents et jeunes adultes évoluent-ils au sein de ce milieu informationnel technicisé ? Comment font-ils concrètement avec l'information ? C'est un défi quotidien. Cela n'est pas vraiment une surprise en soi, mais on va aller voir un peu plus profondément.
Ce sur quoi je voudrais d'abord insister c’est sur un sentiment puissant d'illégitimité informationnelle : quand on interroge les enfants et les adolescents sur leurs pratiques informationnelles, la fameuse question « est-ce que tu t'informes ? » arrive ; et la question pire qui arrive après c'est « comment tu t'informes ? ». C’est la question aux 1000 réponses.
Les jeunes, si vous leur demandez s’ils s’informent, ils vont dire non. La question, étant mal posée, la réponse peut tomber à côté. On a tendance à répondre en termes de légitimité sociale. Du coup, je ne vais pas forcément admettre ; ou alors ça fait un peu banal et je ne peux pas me permettre. Je ne vais pas forcément avouer être un grand fan de Tibo Inshape… Si on vous interroge vous n’allez pas répondre directement, vous allez réfléchir à ce que cela renvoie de votre propre image. Les enfants et les ados font la même chose que nous et visent ce que l’adulte veut. Un adulte veut que je m'informe sur l'actualité sérieuse, politique, internationale. A douze ans, rien. A 17-18 pas trop non plus.
Ceux qui veulent faire sciences po vont s’intéresser un peu plus, mais ce n’est pas ce sur quoi ils vont développer le plus de pratiques informationnelles. Et pourtant une fois que l’on les interroge c’est différent. Avec les enfants très petits il faut arrêter de penser que, parce qu’ils sont petits, ils n'ont pas de cerveau et pas de centres d'intérêt et pas de personnalité. En fait très tôt se développent des pratiques informationnelles (cf. diapo). Sauf que Aiden ne sait pas si regarder des vidéos de dessin pour avoir des techniques, c'est s'informer. Lilou, à la fin de l'entretien dit : « bon en fait, ah ouais, je m'informe » petite fierté de se dire en fait : oui. Evidemment ils ne s'informent pas forcément sur les sujets qu'on souhaiterait en tant qu'adulte ; parce que l’on a juste un peu oublié que nous avons été des enfants et des ados et qu'accessoirement on construit aussi nos propres centres d'intérêt.
Le sentiment d'illégitimité est aussi renforcé par le sentiment de mal s'informer : c'est la fameuse question du comment.
Je vais vous demander de retenir ce que disent Julie et Elise (cf. diapo). Pour Julie, il y a séparation : « j’apprends des choses mais il n’y a aucun rapport avec l’école ». Elle a de véritables pratiques informationnelles qu’elle occulte d’elle-même. ELISE trouve qu’elle ne s’informe pas assez sur l’actualité : elle s’est mis en tête de lire le Courrier International.
On a déjà atteint un premier niveau politique en fait d'éducation. Vivre ensemble et faire ensemble c'est être sur des terrains partagés. Quand on voit des territoires informationnels à ce point distingués les uns des autres, sans dialogue, reste la question de pouvoir échanger en classe sur des répertoires communs.
Un second enjeu est celui d’un marqueur socioculturel très fort à travers la confiance accordée dans l’information, avec des appréhensions qui sont vraiment marquées par ce qu’un sociologue célèbre appelait la Distinction.
L'enquête (cf.diapo) a été menée en plein covid (je le précise, parce que, du coup les entretiens ont été un peu folkloriques). Je vous donnerai ici avec précaution ces résultats car les protocoles n’ont pas pu être aussi rigoureux que souhaité.
Je leur ai demandé si ça leur était déjà arrivé de prendre une information fausse pour une vraie. Ils avaient plusieurs choix : oui, rarement ou jamais. La question a fait émerger deux résultats assez forts : les adolescents qui appartiennent à des milieux favorisés sont convaincus de mieux évaluer l'information que les autres et c'est très net. Ça ne veut pas dire que dans les faits c’est le cas, mais ils ont ce sentiment qui donne confiance dans ses propres capacités à évaluer l'information. Et puis parce que l’information, c’est la vie, c'est comme dans beaucoup de sphères de la société, quel que soit le milieu social, les filles doutent beaucoup plus de leur capacité à évaluer l'information correctement que les garçons. La question de la confiance en soi selon le milieu social et selon le genre, quel que soit le milieu social, c'est un sujet politique.
Je me suis recentrée sur ce que le dispositif fait aux pratiques informationnelles, entre attractions, attractivité et résistances.
Une première chose est de dire qu’il y a de l'humain et que justement cet humain et cette personnalisation à l'extrême de l'information jouent un rôle dans les pratiques informationnelles et dans l'attraction de certaines informations.
Flavien (cf. diapo) par exemple rend un hommage au youtubeur qui lui a permis de développer « de la culture par rapport à l’information » parce qu’il cite des sources, il avance des preuves. Il y a parfois des trajectoires un peu invisibilisées qui me paraissent importantes, parce qu’elles vont au contraire de ce que l’on dit, les pratiques pas sérieuses, le fait d’être un peu passif vis-à-vis des dispositifs.
Je retrouve Morgan (cf. diapo), que je suis depuis 2012, pour un entretien long me montre le Monde diplomatique. Il m'explique que là d'où il vient il n’y a pas de ressources de ce type que pour ses études ; il n’en a pas besoin, il est un peu « bloqué niveau étude ». Il m'explique que le Monde diplomatique c'est conseillé par un journaliste qui s'appelle Uzul sur sa chaîne Youtube qu’il a connu comme un joueur de jeux vidéo.
Morgan en arrive à un cheminement informationnel de jeuxvideo.com au Monde diplomatique. Il s’agit d’une pratique informationnelle qui ne peut pas être dite comme ça spontanément. Il faut faire attention à toutes les enquêtes qu'on nous sort à tout bout de champ. Il faut aussi mettre de la confiance dans l'échange. Cela nous montre à quel point c'est beaucoup plus complexe que ce qu'on veut nous faire croire et ça nous montre à quel point ça mûrit dans le temps.
C’est important de le voir et même de le penser pour nous quand on est enseignant. Il y a des choses qui s'installent, il y a des sociabilités, il y a des mondes de référence et, après, en fonction de ses appétences de ses besoins et de ses envies, on reconvoque des éléments. « Cela fait trois fois que je leur dis, ils n’en font rien, ça n'a pas marché » ... : laissez-leur le temps, ça mûrit.
Ce sont aussi les dispositifs eux-mêmes qui sont problématiques, tout en constituant des leviers pour l'exploration informationnelle. « Ils ne lisent plus la Presse » : on rêverait tant de voir les enfants tels les adultes qui se précipitent tous les matins en kiosque… Ils ne lisent pas la presse mais en fait ils parlent tout le temps de titres de presse.
Retrouvons Elise, vous savez : terminale, ne lit pas le Courrier International, .. Elle me dit « faudra pas que je m'étonne si je ne réussis pas mes études ». 2 ans plus tard elle a découvert Snapchat Discover, méchant Snapchat mais gentil Discover, parce que grâce à Discover elle accède à des titres de presse ; il y a une petite confiance en soi qui arrive : « je ne lis pas la presse mais là c’est différent ». Elle lit donc bien la presse via ses applis ; ils sont beaucoup à en parler. Anaïs explique à quel point ce design émotionnel permet d'accéder pour elle à l'information et de développer une pratique informationnelle et puis Mona, quand je lui demande, me dit « ben non je ne dis pas que je lis la presse parce que ce n'est pas le journal ». En fait c'est par Insta ; mais le pire c'est qu'elle me cite un titre de PQR, les titres de presse, des magazines précis. Pour elle cela ne compte pas parce que ce n'est pas le fameux journal papier. Cela fait penser à ces gens qui pensent que lire un livre papier c'est mieux que de lire un récit sur Wattpad.
Il ne s’agit pas de faire l'apologie de ces dispositifs non plus. La question reste du comment on résiste à un certain nombre de captations qui circulent dans les dispositifs, problématiques en termes de logique économique. Des chercheurs, notamment Eric Sadin, parlent de victimes consentantes du capitalisme numérique, du technocapitalisme. Les adolescents que j’interroge à ce sujet ont une posture qui, j'aurais tendance à dire, est partagée dans la société, qui est de dire « bah, oui, OK, je le sais, voilà ». Ils sont beaucoup dans le donnant donnant. C’est un vrai dilemme qu’ils partagent avec nous.
Résister aux captations ce n’est pas si simple : « je ferme mon téléphone je bloque les notifications. Il faut faire attention de pas être largué non plus » (Garçon 12ans, cf. diapo). S'informer c'est sociabiliser, s'informer, s'intégrer dans le monde social. S’informer c'est politique aussi dans ce sens-là c'est appartenir à un groupe et partager, s'exprimer, et si je coupe, je ne suis pas au courant.
On n'est pas sérieux – par référence à l’adulte- quand on a 12 ans, 15 ans, 17 ans, 20 ans ? Si, c'est sérieux, en fait c'est leur vie, c'est la vie telle qu'elle passe pour eux. Les sociabilités adolescentes sont extrêmement sérieuses : c'est essentiel tout autant que pour vous. En fait leur métier c'est d'être ADS : c'est un métier à temps plein temps.
Aux enfants et aux ados, on ne propose pas de solution alternative, et c’est cela le souci.
Agir et Faire société ensemble
Faire société ensemble pose la question de la place pour les apprentissages informationnels à l'école.
Quels choix d’éducation dans l’école ? Concrètement comment on fait ? Est-ce qu’on n’est pas face à une goutte d'eau dans un océan ?
On peut s’interroger sur les dispositifs qui fonctionnent le mieux pour assurer les apprentissages informationnels et l'effacement des inégalités sociales.
Elise lie son cahier de recherche au CM1 et les TPE : un exemple de goutte d’eau.
Une Classe de CE1 : on est en éducation prioritaire. On est plafonné à 12, ça tombe bien on a une tablette qui fonctionne et on a l'ordinateur de la prof. des écoles qui est là, et nos élèves de CE1 qui apprennent à lire lisent à l'envers, debout assis, comme ils peuvent, pour essayer de faire une recherche dans Wikipédia, pardon, pour apprendre à rechercher de l'information. C'est aussi une réalité et un sujet politique. L'expérience informationnelle, ce n'est pas si simple de la développer dans l'école et il faut rendre hommage aux enseignants.
Morgan se rappelle des points presse et du partage autour de la presse. C’est important de voir la place du rituel, de l’expérience qui permet d’aller jusqu’au développement de répertoires de pratiques.
Enfin éduquer à l’éducation, bien évidemment ce sont aussi des choix politiques et une réflexion sur le cadre éthique de la formation.
On n’arrête pas de leur dire « attention, il ne faut pas aller sur les réseaux, attention à vos données... » et, en même temps, on va parfois se précipiter sur des outils sans forcément en interroger le modèle économique.
Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas les utiliser mais pose quand même la question du modèle culturel que l’on souhaite promouvoir pour nos enfants et nos adolescents dans l'école. Quel est l'intérêt par exemple de faire des bookflix sur le modèle de Netflix pour promouvoir la lecture alors que les murs de lecture ont toujours extrêmement bien fonctionné et fait preuve d'une créativité de folie. Les professeurs documentalistes sont les premiers d'ailleurs à savoir le faire en fait et le faire faire avec leurs élèves. Cela pose la question en fait du modèle culturel et du modèle de consommation que l’on propose et bien sûr du modèle économique et politique.
Une question doit encore se poser, celle des communs, non pas parce qu’il n’y a pas besoin de les acheter, mais parce qu’il y a un modèle de société, une vision de l’information, de ce que c’est d’être ensemble dans la société autour de l’information et des objets partagés.
Il s'agit donc de grandir informés, vous l'aurez compris.
Je voudrais juste rappeler parce qu’on ne va pas réinventer la poudre. Un chercheur en SIC qui s'appelle Alexandre SERRES avait proposé un triptyque organisateur pour l'éducation à l'information qui fonctionne toujours aujourd'hui.
Réaliser ça veut dire qu'il faut avoir des compétences techniques, qu'il faut avoir une culture technique pour comprendre comment cela marche, pourquoi cela marche, et réfléchir parce qu’il y a des modèles politiques et économiques dans l’utilisation des outils, et que cela suppose des connaissances et une culture en dehors de la manipulation. Et puis résister, parce qu'il faut aussi résister à des mythes, à des fantasmes, notamment celui du solutionisme technique qui consisterait à penser que parce qu'on a mis telle chose dans les mains d'un gamin on allait en avoir immédiatement un effet (même s’il s’agit d’un livre).
Je plaide pour une culture des sources, vous l'aurez compris parce que c'est une culture de la distinction. Savoir identifier très précisément les sources et dire d'où ça vient… c'est un travail, c'est un enjeu, c'est un combat pour l'école.
La conférence en intégralité
Recueil de l'information : Franc Morandi
[1] Professeur des universités, Enseignante-chercheure en Sciences de l’information et de la communication, UFR Sciences humaines et sociales-Nancy, Université de Lorraine.
[2] Compte rendu non exhaustif, qui retient les formes orales de la conférence.
Dernière modification le lundi, 23 octobre 2023