En adaptant cette méthode dans son lycée, avec son expérience de la «classe mutuelle», Vincent Faillet montre que l’on peut enseigner autrement et propose une vision différente de l’École, une École plus libre et plus souple qui prend en considération l’élève mais aussi son corps dans la classe et le plaisir d’apprendre, trop souvent oubliés.
Sommaire
Préface de Catherine Becchetti-Bizot, Inspectrice générale de l'Éducation nationale
1. La genèse d'un monolithe éducatif
- La pédagogie et la salle de classe
- La méthode individuelle
- La méthode simultanée
- La méthode mutuelle
- L'échec de l'enseignement mutuel en France
2. Le spectre de l'enseignement mutuel hante l'innovation scolaire
- Les trois composants de la méthode mutuelle
- L'avènement des méthodes actives avec le mouvement de l'Éducation nouvelle
- Dans les années 1970, la théorie des situations didactiques de Guy Brousseau
- Dans les années 1980, Lerner durch Lehren de Jean-Pol Martin
- Dans les années 1990, la Peer Instruction d’Éric Mazur
- Dans les années 2000, Sugata Mitra fait un trou dans le mur !
- Dans les années 2010, le tsunami de la classe inversée
- L’innovation et l’expérimentation à l’École
- Les réseaux sociaux, vecteurs de l’innovation à l’École
3. La «classe mutuelle» du Lycée Dorian
- La métamorphose de la salle de classe
- Le mobilier scolaire
- L'anschluss pédagogique
- Le changement de pédagogie
- Ma conception de la «classe mutuelle»
- La question du bruit
- Et le numérique ?
- «Trop beau pour être vrai»
4. Les trois conditions de la métamorphose de l’École
- Les vestiges de l'ancien monde
- Les trois leviers de la métamorphose de l’École
- Le risque numérique
- La salle de classe et le corps de l'élève
- La pédagogie, les élèves et le plaisir
5. Conclusion : La croisée des chemins de l’École
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Dernière modification le lundi, 22 mai 2023