Le compte-rendu ci-dessous à été rédigé principalement à partir des diapositives des présentateurs.
Monsieur BRUNO GUGLIELMINETTI, chroniqueur technologique, auteur, consultant, cybercommunicateur, chargé de cours universitaire et spécialiste des nouvelles technologies et des médias numériques a été chargé de l’animation. Curieux, vous pouvez visiter son blog : #MonCarnet [iv]
Monsieur ÉTIENNE HÉBERT, vice-recteur aux études, à la formation et à la réussite de l’UQAC nous a souhaité la bienvenu dans son université. Il a souligné le dynamisme de l’équipe du Carrefour, maître d’oeuvre de cette journée d’échanges où s’amorce une réflexion collective à poursuivre.
L’Intelligence artificielle : un domaine bien plus vaste que les informations diffusées par les médias et les réseaux sociaux
JULIEN MAITRE, Professeur au Département d’informatique et de mathématique de l’UQAC
Cette présentation avait pour objectif est de prendre du recul par rapport aux informations souvent biaisées relayées par les médias et les réseaux sociaux, tout en mettant en évidence les principaux enjeux liés à l’IA.
[viii]
Par cette diapositive schématique :
Il a mentionné l’importance de l’IA en médecine où par exemple l’IA par sa capacité d’analyse des images permet de prédire une tumeur cancéreuse mieux que le fait l’humain, en agriculture où l’IA favorise les prises de décisions pour optimiser les rendements. L’utilisation de l’IA produit des jeux vidéos plus réalistes qui améliorent l’expérience utilisateur et rappelle l’amélioration des ventes par les nombreux systèmes de recommandations.
Il a présenté quelques chiffres : plus de 30,000 cartes graphiques ont été nécessaires au développement de ChatGPT selon Clubic [v]et ChatGPT consommerait un demi litre d’eau par 25 à 50 questions selon bfmtv [vi].
Tout le monde ne peut pas développer des applications d’IA qui nécessitent de très grandes quantités de données, d’importants moyens technologiques, des GPU et des serveurs ainsi que de l’argent pour payer les experts. La grande majorité des applications qui reposent sur une IA sont utiles à la société et sont des systèmes d’aide à la décision. Il ne faut toutefois pas négliger la très grande importance des intentions. Les créateurs des IA ont la responsabilité de limiter les utilisations malintentionnées et les biais puisque c'est eux qui ont accès à toutes les ressources. Pour l’instant, nous ne disposons pas encore de la puissance de calcul pour permettre l’autonomie réelle de l’IA, mais l’ordinateur quantique changera la donne.
Quant à son usage en éducation, il importe d’apprivoiser l’IA et s’adapter pour l’Intégrer à notre quotidien. Nous avons la responsabilité d’apprendre aux étudiants(es) à l’utiliser correctement avec jugement.
Naviguer avec grâce sur les eaux troubles des nouvelles technologies : l’éducation au siècle des intelligences artificielles.
OLIVIER DYENS, Fondateur de Building 21[vii],professeur au Département des littératures de langue française, de traduction et de création de l’Université McGill.
Comment répondre aux enjeux d’un monde qui subira l’équivalent de 20 000 ansde changements technologiques d’ici 2100 ? Monsieur Dyens a utilisé comme amorce à sa présentation l’histoire d’Éric le Rouge qui, banni de son pays pour avoir participé à une violente bataille, découvre une île qu’il nomme Groenland (Greenland) et où il établit une colonie.
En premier lieu, monsieur Dyens a proposé une suite de citations qui exposent la situation actuelle.
En voici quelques unes :
Nous ne connaîtrons pas cent années de percées technologiques au cours du vingt-et-unième siècle ; nous serons plutôt témoins de l’équivalent de vingt mille années de progrès (mesuré en fonction du rythme d’aujour’hui.).
Raymond Kurzweil
Uber est sans doute un système supérieur de réglementation des taxis, grâce à l’utilisation de systèmes d’évaluation des participants, de dispositifs de sécurité, d’une structure de prix algorithmique, etc. En contrôlant un goulot d’étranglement à l’accès au marché, Uber agit dans une certains mesure comme une autorité privée de facto en matière de licences.Une telle situation ne devrait peut-être pas être comprise comme une ‘déréglementation’, mais comme un déplacement de l’acte de gouvernance de l’État vers l’entreprise.
Charlotte Bowyer
Le moteur de recherche n'est plus un modèle de connaissance humaine. Le moteur de recherche est devenu la connaissance humaine. Ce qui a commencé comme une cartographie du sens définit maintenant le sens et a commencé à contrôler, plutôt que de simplement cataloguer ou indexer, la pensée humaine.
George Dyson
L'évolution technologique signifie que nous sommes sur la voie d'un monde où il sera possible de décoder les processus mentaux des individus et de manipuler directement les mécanismes cérébraux qui sous-tendent leurs intentions, leurs émotions et leurs décisions.
Les neurotechnologies pourraient clairement perturber le sentiment d'identité et d'action des gens, et ébranler les hypothèses fondamentales sur la nature de soi et de la responsabilité personnelle - légale ou morale.
Four ethical priorities for neurotechnologies and Al, Nature, novembre 2017
Hinton pense maintenant qu'il existe deux types d'intelligence dans le monde : celle des cerveaux animaux et celle des réseaux de neurones. 'Les réseaux de neurones sont une forme d'intelligence complètement différente', dit-il Une nouvelle et meilleure forme d'intelligence!J'ai soudainement changé d'avis quant à savoir si ces programmes vont être plus intelligents que nous. Je pense qu'ils le sont déjà presque, et qu'ils le seront beaucoup plus dans l'avenir, dit-il. 'Comment survivrons-nous à cela?"
MIT Technology Review
Maintenant que tout peut être truqué, comment distinguerons-nous ce qui est réel de ce qui ne l'est pas?
Joshua Rothman
Le paradoxe est le suivant : alors que nous développons des machines qui se comportent de plus en plus comme des humains, nous développons des svstèmes éducatifs qui poussent les enfants à penser comme des ordinateurs et à se comporter comme des robots. Nous passons des années à convertir des êtres humains émotionnels, aléatoires et désobéissants en robots organiques.
Joichi Ito
Je pense que nous sommes sur le point d’utiliser l’IA pour opérer ce qui sera probablement la plus grande transformation positive que l’éducation ait jamais connue. Et la façon dont nous allons le faire est de donner à chaque élève de la planète un tuteur personnel artificiellement intelligent mais incroyablement compétent. Et nous allons offrir à chaque enseignant de la planète un assistant pédagogique hyper doué doté d’une intelligence artificielle.
How AI could save (not destroy) education.
Sol Khan
Notre devoir : inventer un système d’éducation qui créera un Green Land.
Nous ne connaissons pas ce monde, nous ne pouvons donc pas transmettre ses caractéristiques à nos élèves. Nous devons former non pas des étudiants(es) mais des navigateurs et des explorateurs audacieux, éthiques, créatifs et courageux. Nous devons adapter nos pédagogies, nos méthodes et nos approches pour les préparer à créer par eux-mêmes un monde juste, équitable et durable, Un Green Land, dit le professeur Dyens.
Et pour créer ce Green Land, nous devons repenser nos approches, apprendre à naviguer sur les eaux troubles et connaître les tempêtes de l’incertitude et de la complexité. Il faut démystifier les IA, en explorer l’espace des possibilités, comprendre comment les utiliser afin de créer une meilleure expérience pédagogique … Bref, créer un syst ème d’éducation pour ce nouveau continent :
- sans notes ni crédits dans lesquels chaque participant est à la fois apprenant et enseignant ; qui focalisent les énergies vers le processus d'exploration et non pas vers les résultats:
- qui mélangent les disciplines et niveaux ;
- qui encouragent le développement d'hypoth èses et de projets multidisciplinaires uniques, audacieux et rigoureux ;
- qui sont fondés sur la beauté et l ’émerveillement.
Kevin Kelly a écrit :
La première chose est de savoir ce que nous voulons. Nous devons avoir un sens profond de nos valeurs, de ce que nous défendons. Plus la technologie progresse, moins nous sommes sûrs de qui nous sommes et de ce que nous défendons en tant qu'espèce et en tant qu'individus. Cette découverte de ce qui est le plus important en nous est donc un énorme défi.
Comment devenir plus humain avec et par la technologie?
Lien vers la liste de lecture proposées par monsieur Dyens :https://www.uqac.ca/carrefour/wp-content/uploads/2023/05/Liste-de-lectures_dyens_mai_2023.pdf
De Turing à GPT-4 : une brève histoire de l’IA et ses enjeux actuels
KEVIN BOUCHARD, professeur au Département d’informatique et de mathématique · UQAC
Cette conférence survole l’histoire de l’intelligence artificielle, de ses origines à ses développements les plus récents, tout en examinant les enjeux clés auxquels elle fait face aujourd’hui.
Imaginons in IA du futur. Un robot compagnon qui perçoit mes besoins et m’apporte un café pendant que je travaille. Fabriquer une telle machine demande le raffinement d’une multitude de technologies et est pour l’instant encore du domaine de la science fiction.
Ce que l’on peut prévoir cependant est que l’IA continuera de contribuer aux développements scientifiques, à des industries créatives, jeux vidéos, spectacles, animations sur films de plus en plus époustouflants, à la croissance des industries qui sauront d’adapter aux changements provoqués par IA. Quant à l’informatique quantique, difficile d’imaginer ce qu’en seront les conséquences … peu de gens peuvent tenter de prédire l'avenir en ce qui concerne lA. Les prédictions vieillissent assez mal.
L’évaluation à l’ère de l’intelligence artificielle : comment préserver l’intégrité académique
MARTINE PETERS, directrice du Partenariat Universitaire sur le prévention du Plagiat[viii]professeure, Département des sciences de l’éducation à l’UQO (Université du Québec en Outaouais). Cette présentation a été mon coup de coeur de la journée.
Le Partenariat universitaire sur la prévention du plagiat (PUPP) regroupe 65 chercheurs et collaborateurs de diverses disciplines, provenant de 35 partenaires et mise sur une intervention internationale pour la prévention du plagiat dans les universités. En plus du plagiat traditionnel, le corps professoral est maintenant confronté à l’AIgiat (AIgiarism), c’est-à-dire le plagiat à l’aide de l’intelligence artificielle (IA). Si notre mission est de former nos étudiants(es) comment s’assurer que les apprentissages se font avec intégrité et avec ou sans IA?
L’Intelligence artificielle générative dont ChatGPT est l’exemple le plus connu décuple la crainte du plagiat. Face à cette situation, madame Peters identifie neuf réactions possibles.
Les quatre premières lui semblent peu productives :
1 - Paniquer
2 - Interdire l'IA2 dans nos établissements
3 - Défendre aux étudiants de s'en servir pour nos travaux
4 - Recourir à la détection
Quant à l’utilisation d’outils de détections qui sont parfois fiables à 98%, il est impensable de se fier uniquement à ces logiciels de détection, qui rendent le plagiat impossible à prouver.
5 - S’éduquer
6 - Utiliser l’IA pour nos propres tâches
7 - Informer et former nos étudiants
8 - S’en servir pour notre enseignement, nos évaluations
9 - prévenir pédagogiquement le plagiat avec l’IA.
L’IA générative permet de réfléchir à une nouvelle façon d’écrire, ce qui a aussi comme conséquence d’avoir à considérer une nouvelle façon d’évaluer. Johnson-Eilola et Selber (2007) [ix] affirment qu'exiger des travaux originaux est : peu réaliste, contreproductif, très difficile dans un monde où des tonnes d'information existent, surtout pour un étudiant qui commence dans le domaine et qui n’est pas un expert….
L’IA est un élément clé pour la réussite personnelle et professionnelle de nos étudiant.e.s, pendant leurs études et tout au long de leur vie adulte.
En conclusion :
- L'utilisation intègre de l'IA n'est pas du plagiat.
- C'est notre rôle de montrer aux étudiants comment se servir de ces outils pour ramasser des idées, faire un plan, réviser leur texte mais de faire le travail eux-mêmes s'ils veulent apprendre et ne pas se faire prendre à faire du plagiat.
- C'est notre rôle de modifier nos tâches évaluatives pour diminuer la tentation et favoriser l’IA de nos étudiants.
Le journée s’est terminée par une suite de Pecha Kucha.
Le génie dans la lampe
ANDRÉ GOBEIL, Directeur général · Cégep de Chicoutimi
Une perspective citoyenne et institutionnelle sur les bouleversements et la disruption qui se trouvent au centre des développements de l’intelligence artificielle. Un nouvel emploi est en développement : devenir producteur de «prompter» ou «créateur de demandes» pour ChatGPT. L’intelligence artificielle générative est un outil et un outil n’a pas de sentiments.
Le déterminisme technologique et l’intelligence artificielle à l’école
HERVÉ SAINT-LOUIS, Professeur, Département des arts et lettres · UQAC
En passant sur son LinkedIn il y a quelques semaines, monsieur Saint-Louis est tombé sur une liste des dix extensions Chrome orientées vers les intelligences artificielles qu’il fallait maîtriser pour être productif. Ces extensions étant encore plus importantes que les outils génératifs plus connus tels que ChatGPT et MidJourney. Ces outils génératifs, tout comme l’idée de la singularité, il y a une dizaine d’années, sont vus comme étant nécessaires à la littératie numérique. Mais qu’en est-il ?
Ces idées font partie de ce que les chercheurs en science et technique nomment le déterminisme technologique classique.
Le déterminisme technologique n'est pas nouveau. C'est l'idée que la technique (la technologie) influence comment les humains organisent leurs vies. On retrouve cette idée déterminisme avec Marshall McLuhan quand il nous disait que le médium, c'est le message. Il y a une idée de hiérarchie de la technique sur l’humain. On dit aux gens qu’ils prendront du retard et qu’ils seront d’une manière ou d’une autre analphabètes numériques s’ils ne parviennent pas à utiliser et à « maîtriser » de nouvelles techniques.
Les appréhensions face au techniques génératives et le monde de l'éducation ne sont qu'un réflexe rapide, démontrant l'emprise du déterminisme technologique. Cela peut mener vers une panique morale ou une appréhension du risque, selon le chercheur allemand Ulrich Beck.
Secrètement, on veut que les étudiants utilisent ces techniques émergentes, car on ne veut pas être laissé pour contre et prendre un retard économique. Cependant, on tient à maîtriser et contrôler comment les étudiants pourront bénéficier de ces techniques.
Une autre perspective est le déterminisme social. Ici, on prétend que les individus et les structures sociales affectent l'usage et l'invention des techniques. Donc, on dira, les humains veulent que l'intelligence artificielle se développe. Et les humains détermineront, et changeront l'usage finale des techniques. Les chats sur le web et les réseaux neurologiques que l'on utiliserait pour échanger des recettes de tartes, au lieu de trouver une cure au cancer! Il est peut-être plus juste de voir les effets de la technique et de la société l'un sur l'autre comme un phénomène où l'un influence l’autre. Les deux approches ont leurs forces et limites bien que la construction sociale soit plus en vogue ces temps-ci.
A-t-on besoin de compétences éthiques particulières pour utiliser les IA ?
ANDRÉANNE SABOURIN LAFLAMME, Professeure de philosophie et d’éthique de l’IA · Cégep André-Laurendeau
FRÉDÉRICK BRUNEAULT, Professeur de philosophie · Cégep André-Laurendeau
On identifie trois composantes de la compétence éthique à la formation éthique en enseignement supérieur :
1- Être en situation éthique
Reconnaître et apprécier la dimension éthique des situations impliquant de IA dans différentes sphères de nos activités courantes.
2 - Savoir agir en situation éthique
Problématiser la dimension éthique des enjeux liés aux IA et traiter ces enjeux de manière autonome en vue d’agir en situation éthique.
3 - Interagir en situation éthique
Exposer sa position personnelle sur les enjeux éthiques liés aux IA, évaluer la pertinence de celle-ci en la confrontant à d’autres positions possibles et délibérer en vue de coordonner avec autrui des actions communes.
Les présentateurs identifient quatre champs de compétence éthique de l’IA.
1 - Les aspects techniques
- Exposer les principales caractéristiques des processus techniques des SIA.
- Analyser les caractéristiques des processus techniques des SIA à la lumière de différentes conceptions du rapport de l'être humain à la technologie.
2 - Les dilemmes moraux
- Identifier les principes et valeurs en conflit dans les dilemmes moraux particuliers liés aux SIA.
- Comparer différents cadres théoriques en philosophie morale permettant de conceptualiser les dilemmes moraux particuliers liés aux SIA.
- Evaluer les enjeux épistémiques, normatifs et transversaux liés aux SIA
3 - Le contexte sociotechnique
- Situer les enjeux éthiques des SIA au sein du contexte socio-économique dans lequel ils s'inscrivent, notamment en ce qui a trait aux questions liées à la diversité, l'inclusion et l'égalité.
- Situer les enjeux éthiques des SIA au sein des dynamiques politiques dans lesquelles ils s'inscrivent.
- Dégager les enjeux éthiques spécifiques des SIA liés à leur impact environnemental.
4- Les cadres normatifs supplémentaires
- Situer les enjeux éthiques des SIA dans le cadre du droit étatique et international.
- Comparer les cadres normatifs issus des chartes et déclarations en éthique de l'A
- Identifier les obligations prescrites par les codes de déontologie et les autres cadres normatifs professionnels pertinents.
La formation en éthique de l’A est nécessaire pour toute la communauté en enseignement supérieur, personnes étudiantes, membres du corps professoral, personnel professionnel, membres de la direction et de l'administration, etc.
Muscler les compétences informationnelles des personnes étudiantes à l’ère des robots: le rôle des bibliothécaires universitaires ?
MIREILLE LÉGER-ROUSSEAU, Bibliothécaire · Service des bibliothèques et archives · Université de Sherbrooke, Campus de Longueuil
Que valent les IA génératives comme aides à la recherche et au traitement de l’information? On a demandé à ChatGPT : As-tu des références pour appuyer ces propos ?
ChatGPT a répondu :
Malheureusement, en tant que modèle de langage Al, je n'ai pas accès direct à une base de données de références. Cependant, je peux vous donner quelques suggestions générales pour trouver des références qui appuient les propos mentionnés :
1 - Recherche universitaire
2 - Organisations et institutions spécialisées
3 - Livres et ouvrages de référence : Lorsque vous consultez des sources, assurez-vous de vérifier leur crédibilité et leur légitimité en examinant l'auteur, la publication, les méthodologies utilisées et les références citées.
Cela vous aidera à évaluer la qualité et la fiabilité des informations présentées. Quels sont les biais d’une IA ou d’une autre et comment les neutraliser? Comment monter une veille technologique efficace? Comment évaluer la fiabilité d’un contenu généré par une IA? Et les IA génératives scientifiques, rêve ou réalité? Sans panique ni candeur, les bibliothécaires universitaires s’organisent pour affronter avec vous une nouvelle tempête technoscientifique.
Au 21ème siècle les bibliothécaires universitaires et collégiaux offrent aux étudiants(es) une multitude de services :
- Formation et référence
- Matériel pédagogique
- Soutien à la recherche
- Requêtes booléennes
- Veille technoscientifique
- Droit d'auteur
- Gestion des données de recherche
- Bibliométrie
- Gestion des systèmes
- Ressources éducatives libres
- Etc...
[i] Reportage de Radio Canada, Maxime Hébert-Lévesque, 29 mai
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1983010/ia-plagiat-integrite-academique
[ii] Le Carrefour de l’enseignement et de l’apprentissage a pour mission d’être un centre au sein duquel chaque projet ou besoin pédagogique de l’université bénéficie, au moment approprié, de la collaboration entre tous les acteurs liés à l’enseignement et l’apprentissage à l’UQAC.
[iii] Ce que l’on nomme aujourd’hui «intégrité académique» s’appelait à mon époque, «honnêteté intellectuelle».
[iv] #MonCarnet
[v] Clubic
[vi] bfmtv
[vii] Building21
[viii] Partenariat Universitaire sur le prévention du Plagiat
https://pupp.uqo.ca/fr/qui-nous-sommes/
[ix] Plagiarism, originality, assemblage , Johnson-Eilola et Selber (2007)
https://doi.org/10.1016/j.compcom.2007.08.003