Il évoque les nouvelles formes de la fracture numérique que révèlent les usages et notre préoccupation est de donner à ceux qui ne sont pas connectés de le faire, et à ceux qui sont connectés d’enrichir leurs pratiques. Le danger social est lié à l’absence de maitrise des technologies particulièrement pour les grands exclus sociaux. L’ordinateur est une machine trop complexe pour être vraiment démocratique. Les générations récentes des terminaux mobiles doivent penser l’ergonomie et la simplicité ...

Contrairemnt au papier, une ressource sur Internet, si elle est mal conçue, mal indexée..elle devient invisible ! Il est nécessaire de ne pas rester entre soi entre technophiles, l’accessibilité ce doit être une préoccupation des acteurs publics. Dans l’éducation, se pose la question ce qu’on y fait sur Internet, il s’agit pour les générations qui viennent, de maitriser la production, comprendre les bases des algoryhmes. Notre impératif civique et citoyen a changé. Les objets connectés vont prendre une grande importance dans le domaine de l’environnement, de la santé ils incluront en leur sein les notions de respect de vie privé...

Les objets sont porteurs de valeur ! de même manière que’au siècle suivant l’architecture était porteuse de valeurs...Il s’agit de veiller à ce que les technologies soient conçues, développées en fonction de la société que nous voulons. "En éducation le numérique doit -il être un objet d’enseignement ou un outil pour apprendre ?" Les acteurs ont sans doute du mal à trouver un équilibre entre des deux vues complétmentaires, se demandant souvent si le premier est essentiel ou bien en est-ce l’usage qui compte... Un début de réponse avec Bernard Benhamou pour qui les deux logiques doivent s’accompagner l’une et l’autre.

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