La prochaine Fête de la science commencera samedi et se poursuivra jusqu'au 16 octobre. À cette occasion, venez expérimenter les sciences, échanger avec nos équipes et découvrir nos ressources.

La rentrée de septembre, c'est un peu comme un tour du monde à la voile réalisé en équipage, plutôt en scolaire qu'en solitaire et avec escales, pendant plus de trente semaines sur une mer que nous allons souhaiter rangée et calme plutôt que démontée et houleuse.

Une méthode pour CE2 et CM1 qui tire le meilleur parti du numérique et s’adapte à vos élèves, à votre rythme d’enseignement, et transforme vos séances d’anglais en un moment de plaisir partagé. Pour la découvrir, regardez cette vidéo tournée en classe ici.

Publié par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 22/04/2016:

De nouveaux mots ont envahi la sphère économique et sociale pour décrire le monde du travail. Des anglicismes ou des néoglogismes dont le sens n'est pas toujours très clair. Définition de quelques beaux spécimens.

Apprendre et enseigner avec le numérique c’est (re)donner une place au corps et notamment à la main. En se posant cette question on interroge la place du formel et de l’informel car nous sommes dans une système ou se côtoient plusieurs modes d’écriture. Le primaire est une période clé de notre formation car nous y apprenons l’acte et le geste d’écriture, nos instituteurs (professeurs des écoles) veillent à ce que ce dispositif si fondamental soit acquis par tous. Il s’agit là d’un enseignement qui est méthodologique, pédagogique et didactique. La pensée symbolique passe par l’écriture.

L'école a toujours mis l'accent sur des projets à développer, des spécificités à souligner ou des innovations à poursuivre mais cette fois-ci l'accent est mis sur la suppression - en partie - de... l'accent circonflexe en classe comme dans la vie quotidienne ! Reve (rêve) ou cauchemar ?

Publié par Claudio Galderisi* sur theconversation : Dans les mêmes années où les pères fondateurs de ce qui s’appellera plus tard l’Agence universitaire de la francophonie (AUF) concevaient « la création d’une communauté de langue française », selon la formule de Léopold Sédar Senghor, Albert Camus rappelait qu’il n’avait d’autre patrie que sa langue : le français.