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Parcoursup : mode de fonctionnement

D’un côté, en 2024,  916000  demandeurs d’admission en première année d’un premier cycle de l’enseignement supérieur français, parmi lesquels 645000 élèves scolarisés en classe terminale d’un lycée français (y compris ceux des lycées français de l’étranger), 170000 étudiants redoublant leur première année d’études supérieures et demandeurs d’une réorientation (celles et ceux qui redoublent dans la même filière ne repassent pas par le portail Parcoursup), 66000 personnes souhaitant reprendre leurs études à ce niveau après une ou plusieurs années de vie active, et 35000 candidats scolarisés en classe terminale de l’enseignement secondaire à l’étranger, désireux de venir faire leurs études supérieures en France.

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Parcoursup contribue à développer la sélection à l’entrée des universités françaises

En France, on utilise fréquemment l’expression  « système dual » pour qualifier l’enseignement supérieur, se référant au fait que, depuis 1806, sous le règne de Napoléon 1er, il se compose  d’une part des formations universitaires très majoritairement constituées par des premiers cycles généralistes non sélectifs, et d ‘autre part,  d’un ensemble d’établissements sélectifs de petite taille : les écoles supérieures, parmi lesquelles celles que l’on nommait alors « écoles spéciales », les ancêtres de nos actuelles grandes-écoles, qui répondaient et répondent encore en grande partie au besoin de former des professionnels de divers niveaux, et notamment les futures élites administratives, militaires, enseignants, ingénieurs, dirigeants d’entreprises…

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Daniel Bloch, visionnaire aveugle

Daniel Bloch, depuis la fin mai 2024 a publié six billets sur le Café pédagogique à propos de l’enseignement professionnel court. Le père du bac professionnel est bien placé pour mener cette réflexion. Il est nécessaire à ses yeux de revaloriser la formation professionnelle. Mais comment ?

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Un rapport proprement révolutionnaire

Le dernier rapport de l’IGESR[1] encense les services d’orientation et surtout les personnels. Mais son objectif n’est plus du tout l’orientation. Il appelle la mise en place d’un « nouveau service » qui rassemblerait les PsyEn EDO et divers services existants dont l’objectif serait la santé mentale.

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L’orientation, perdue en chemin

Poursuivons[1] nos remarques au rapport concernant les PsyEn EDO[2]. Nous nous centrerons sur le CIO et son directeur dans un prochain post. Le présent portera sur l’évolution des conceptions de l’orientation et de sa place au sein de l’Éducation nationale.

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Inauguration d’un nouveau régime d’orientation

Le brevet conditionnant l’entrée en seconde générale et technologique, d’après Claude Lelièvre, remet en question le principe du collège unique, mais aussi voit ses finalités et son rôle bouleversés. Plus globalement l’arrêté sur les groupes de niveaux, comme le dit Jean-Paul Delahaye, remet en question l’autonomie de l’EPLE. Cette décision bouleverse également le principe sur lequel reposait l’orientation en France depuis cinquante ans : la régulation locale.

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De l’évidence des procédures d’orientation

À l’occasion de la préparation de mon intervention au séminaire du CICUR du 28 mars 2024[1], j’ai lu les articles récents de Jean-Pierre Véran[2] présentant l’ouvrage de Daniel Bloch, ainsi que celui de Yann Forestier[3] comparant les enseignants français et finlandais. Le séminaire portant sur le lycée professionnel j’interviendrais sur la question des procédures d’orientation, mécanique de l’alimentation de la voie professionnelle. Or elles sont, comme nous le verrons au travers de la lecture de ces deux articles, le plus souvent considérées comme faisant partie du paysage évident de l’organisation de notre scolarité.

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Jexplore, aide à l'orientation en réalité virtuelle, se déploie dans le Grand-Est en partenariat avec l'Académie de Nancy-Metz

Communiqué Jexplore : Savez-vous que, selon une étude conjointe de Pôle Emploi et de l'INSEE, une personne change de métier entre 5 et 13 fois au cours de sa carrière ? Un chiffre qui illustre, au moins en partie, les problématiques liées à l'orientation.

"Il n'y a pas d'orientation choisie ni d'opportunités d'emploi durables, s'il n'y a pas une solide connaissance des métiers dès le collège puis tout au long de la vie", souligne Guennadiy Pak, le fondateur de Jexplore.

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