On peut trouver sur le site « Romaine Lubrique » consacré comme son nom l’indique (ou pas) au Domaine Public des entretiens avec le philosophe Bernard Stiegler dans les locaux parisiens de l’Institut de recherche et d’innovation qu’il dirige.

Joël de Rosnay propose au fil des années des analyses et des suggestions sur notre monde du numérique et particulièrement sur les mutations mondiales qui touchent tous les habitants de la planète.

Une réflexion consécutive à une question que l’on m’a posée : comment imaginez vous l’école de demain ?

Je ne suis pas encore sûr que mon propos soit d’une grande rigueur, prenez ce billet comme un bloc note extime élaboré en assemblant des idées éparses. L’exercice de prospective est à risque mais il est parfois utile de se projeter dans le futur, même incertain, pour mieux comprendre le présent.

Tout au long de l’année, le forum permanent Changer d’Ère, en association avec la publication en ligne Les Di@logues Stratégiques, interroge et informe sur les grands défis de la modernité, les effets sociétaux des mutations engendrées par la société numérique : regards croisés de penseurs, entrepreneurs, décideurs, chercheurs…

Certes, l’attrait irrésistible que nous éprouvons pour ces liens numériques semble nouveau. Mais il ne fait que refléter l’expérience du nouveau-né dans le carré parental et la durable nostalgie organique et psychique que nous éprouvons inconsciemment depuis la séparation de la naissance, lorsque le cordon ombilical a été coupé.

Article initialement publié par Sébastien Wart sur Carrefour Education

 

C’est en croisant des lectures d’Adrien Ferro et de Philippe Meirieu que j’ai pris conscience des profondes motivations qui commandent à mes choix pédagogiques.

 

Un grand nombre d’articles sur les usages du numérique en classe ont expliqué que la mobilité des tablettes rendait possible des attitudes de coopération et d’entraide entre les élèves. Ces faits ne sont plus à prouver ils ont été observés et décrits par un grand nombre de professeurs.