Que se passe-t-il dans les années 20 du côté de l’orientation scolaire ? Je vais poursuivre pour cela en m’appuyer sur le livre d’André Caroff que je vais citer abondamment et ajouter quelques remarques et commentaires personnels.

Une très courte vidéo pour expliquer le changement de statut de l'évaluation. Enfants, à l'école, nous avions des notes et des moyennes. Ce qui n'est plus le cas actuellement. Pourquoi ce changement? Cette vidéo tente de répondre à cette question.

Par Marie-Laurence Caron-Fasan, Professeur des universités en Sciences de Gestion, Université Grenoble Alpes et Valérie Bardot, Ingénieur pédagogique, Chargée de projets TICE, Université Grenoble Alpes sur Theconversation.

Partie prenante de l’innovation, la créativité est de plus en plus présente dans les milieux professionnels. Elle est désormais reconnue par les organisations privées et publiques comme un challenge clé dans les projets d’innovation.

Les formats des référentiels de compétences sont identiques pour tous les livrets expérimentaux proposés, dans un souci de clarté cognitive et de ritualisation. Un format stable comme l’aiment à dire Cèbe et Goigoux.

Excepté pour les évaluations certificatives (examens ou concours), l’objectif de l’évaluation est de faire progresser les élèves en proposant de rétroactions riches (valorisation des aspects positifs, propositions de pistes de progrès, …). Cependant, plusieurs questions restent en suspens autour de l’évaluation : Qu’évaluer ?  Qui évalue ? Quel peut être l’apport du numérique ? Voyons tout cela plus en détail …

Initié en 2012 par la DSDEN de la Vienne, le projet Cerise.prim, rebaptisé en 2016 Cprim.école est le fruit d’une collaboration entre équipes enseignantes, inspecteurs du premier degré et Réseau Canopé (Direction territoriale de la nouvelle aquitaine).

Dans une classe ou un groupe de formation, des dispositifs numériques permettent aujourd’hui de recueillir immédiatement des réponses et des interventions, — d’une tout autre façon qu’avec la traditionnelle main levée. Ces dispositifs utilisent désormais les terminaux des élèves (ordinateurs ou appareils mobiles), et non plus de simples boîtiers de vote ou télévoteurs.

Il est illusoire de croire que tous les élèves vont pouvoir développer les mêmes connaissances et compétences au même rythme et selon la même chronologie stricte.