C'est ce que l'on appelle la constante macabre qui, bizarrement ne touche pas le baccalauréat. En effet, les questions posées à cette épreuve sont classiques, analogues à celles traitées en cours ce qui permet à des élèves assidus d'obtenir des résultats convenables.
Il y aurait donc un décalage entre les évaluations réalisées en classe et la conception du baccalauréat. Ce qui est anormal ce ne sont donc pas les épreuves mais la préparation, toujours empreinte d'un esprit de constante macabre.
Que les élitistes, les amateurs de statistiques se rassurent. Après le bac les élèves seront confrontés à des concours pour accéder à une qualification professionnelle. Ce sera une toute autre histoire!!!