fil-educavox-color1

« Hard skills » + « soft skills » = « good skills »

Vers une nouvelle conception de l’évaluation et de la formation des élèves de l’enseignement secondaire : Depuis quelques années, le vocabulaire de l’éducation s’est enrichi de deux expressions venues du monde anglo-saxon : « hard skills » et « soft skills ». Nées dans le monde du recrutement en entreprises durant les années 1980, elles ont marqué le renouveau de la conception des compétences dont doit être porteur tout candidat à un emploi.

En savoir plus...

Les attendus de Parcoursup : une boussole au service des familles

Il est fréquent de lire ou entendre des jugements critiques concernant la plate-forme télématique Parcoursup, portail quasi obligé par lequel doivent chaque année passer plus de 900000 personnes (parmi lesquelles 640000 jeunes scolarisés en classe terminale des lycées) demandeuses d’une admission en première année de l’une des près de 20000 formations supérieures qui utilisent ce dispositif  pour réguler les admissions en leur sein.

En savoir plus...

A propos de / Delphine Riccio : « Du rêve individuel au projet de société, l’accompagnement à l’orientation doit évoluer »

Delphine Riccio vient de publier une tribune sur le Monde.fr intitulée « Du rêve individuel au projet de société, l’accompagnement à l’orientation doit évoluer »[1]. Je vous en recommande la lecture. Elle  y relance un vieux débat concernant l’objectif de l’orientation : une satisfaction individuelle ou une satisfaction collective ? La situation actuelle des services est une bonne occasion de revisiter ce débat.

En savoir plus...

Pourquoi et comment se préparer aux études de médecine dès la Terminale ?

Pas facile de réussir médecine, c’est pourquoi il est important de mettre toutes les chances de son côté ! Dès la Terminale, il est possible de préparer sa première année d’études, une bonne façon de se familiariser avec le programme et de parvenir à la décrocher !

En savoir plus...

Plus de contrôle continu oblige à plus encadrer la liberté d’évaluation des élèves par les enseignants

Etymologiquement, évaluer un(e) élève, c’est mesurer la valeur de ses acquis scolaire. En France, de longue date, on s’est pour cela installé dans un système qui fait de la notation basée sur un barème en vingt points  l’instrument principal de mesure de cette valeur, et ce dans le but de remplir une double mission : établir des constats ponctuels périodiques (évaluation sommative), mais aussi permettre à chaque élève de se situer par rapport aux autres et lui permettre de faire le point sur ce qui, à un moment de sa scolarité, est acquis ou doit être amélioré (évaluation formative).

En savoir plus...

Dominique Odry, un examen à 360 degrés de l’orientation

Il y a un an, Dominique Odry publiait « l’évaluation dans le système éducatif »[1]. Cette fois-ci il a pris l’orientation comme angle d’analyse[2] avec « L’orientation dans le système éducatif, Histoire, logiques et enjeux ». Et c’est encore une réussite. Son ouvrage est une synthèse des différentes questions de l’orientation dans notre système éducatif, mais comme vous le verrez ces questions débordent très largement de notre système. En 300 pages il vous propose un matériel propre à soutenir votre réflexion concernant cet objet polymorphe dont certains aspects restent encore très particuliers à la France.

En savoir plus...

Tir groupé sur la méritocratie

Le lien étroit entre notre système scolaire et la méritocratie est questionné depuis longtemps, mais depuis le mois d’aout le débat semble reprendre avec la publication fin aout de livres, articles et interviews sur cette question. Après le ministère Blanquer, particulièrement ambigüe sur ce lien, il se pourrait que la thématique s’impose dans la présidentielle. Espérons-le ! Mais une absence se manifeste dans ce débat : nos procédures d’orientation. Je vous propose un petit survol de ces échanges éditoriaux.

En savoir plus...

Peut-on changer notre système d’orientation ?

Vincent Troger vient de publier une tribune intitulée : « Le système d’orientation de l’école française semble de plus en plus décalé avec la réalité économique et sociale » (sur LeMonde.fr). Il identifie un certains nombre de phénomènes suffisamment importants pour montrer que notre système d’orientation n’est plus efficace. La fiction de l’adéquation formation-emploi sur laquelle est basée notre système d’orientation ne repose aujourd’hui sur pas grand-chose. Inutile de reprendre ses arguments très intéressants. Au fond, beaucoup d’individus ne font pas ce que le système d’orientation leurs avait prévu, ils s’échappent. En simplifiant, beaucoup des relégués s’en sortent très bien, et beaucoup des « happy fews » quittent la route prévue pour construire leur chemin de traverse. Bien d’accord avec ce constat, mais pour moi la question porte sur la conclusion-proposition qu’il présente.

En savoir plus...