Figeac Patrick
Prudence de rentrée
- mercredi, 13 septembre 2017
- Chronique
En chacune et chacun d'entre nous sommeille un Ministre de l'Education nationale car nous avons toutes et tous des idées pour transformer l'école. Ce qui surprend avec Jean-Michel BLANQUER, c'est la rapidité avec laquelle il a voulu appliquer ses réformes.
En savoir plus...Refonder l'école ? Oui, mais comment ?
- mardi, 29 août 2017
- Chronique
Qu'est-ce-qui vaut la peine d'être enseigné aujourd'hui ? A l'heure de la mondialisation, face à la montée de l'individualisme social qui gangrène notre société, devant la montée des logiques ségrégatives et des inégalités, quand les élèves passent plus de temps devant les écrans que devant leurs enseignants, quand la transmission scolaire est remise en cause par la concurrence des médias, quand la pulsion consommatrice se substitue à la construction du désir, comment identifier ce qui pourrait nous unir et nous libérer ?
En savoir plus...Redonner confiance !!
- jeudi, 17 août 2017
- Chronique
Depuis plusieurs décennies, les évolutions sociétales donnent aux jeunes le sentiment que les perspectives d'avenir sont bloquées. En cause, la faiblesse de la croissance économique bien sûr, les errements du monde, mais aussi la question fondamentale de la place de l'humain dans des secteurs où la technologie est en conquête permanente.
En savoir plus...Apprenons à métaboliser nos émotions !!
- jeudi, 17 août 2017
- Chronique
Nous sommes les héritiers d'une culture qui a longtemps diabolisé les phénomènes émotionnels considérant qu'ils perturbaient la raison. Des générations ont alors tenté de les maîtriser, de les refouler, voire de les nier.
En savoir plus...Une oligarchie de l’excellence
- lundi, 07 août 2017
- Chronique
En France, nous l’avons déjà dit, la première orientation dans l’enseignement supérieur se transforme vite en destin. En effet, les étudiants acceptés dans une filière sélective obtiendront presque tous leur diplôme et seront quasiment sûrs de trouver un emploi. A l’inverse, 60% de celles et de ceux qui s’engagent en première année à l’université, n’auront pas leur licence trois ans plus tard. Ces jeunes en échec sont majoritairement issus de milieux défavorisés.
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