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Rapport : Le service public numérique pour l’éducation

Cour des comptes : La loi de refondation de l’école de la République a créé en 2013 le « service public du numérique éducatif », pour apprendre aux élèves les techniques numériques en vue de leur insertion citoyenne et professionnelle, améliorer la pédagogie par l’usage de services et de ressources numériques en classe, mais aussi favoriser l’égalité des chances. Il s’agissait également de moderniser la gestion du service éducatif, en facilitant les relations entre enseignants, élèves et parents.

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CRÉATHON 2019 : " L’intelligence artificielle et l’école inclusive "

C'est au lancement d'une aventure internationale et collective de création que nous avons assisté le 22 mai dans les locaux du Réseau Canopé à Chasseneuil-du-Poitou. Il s'agit d'un événement à dimension locale, régionale et internationale ! 322 équipes, 1270 participants mobilisés, répartis dans 31 pays pour imaginer, en 24 heures, un projet innovant sur le thème de l’Intelligence artificielle et l’école inclusive.

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Un jour de Printemps numérique en Lot-et-Garonne

Il y a eu en 2017,  le rapport de Catherine Becchetti-Bizot  " Repenser la forme scolaire à l'heure du numérique " :  " Accompagner ces changements plutôt que de les subir, développer de nouvelles stratégies pour instruire, éduquer et préparer tous les élèves à devenir des citoyens libres de la société numérique, poursuivre leur formation et progresser tout au long de leur vie dans un monde incertain, complexe et hyper-connecté, représentent des défis majeurs pour l’École du XXIe siècle. "

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Les sciences cognitives dans la salle de classe

Les 28 et 29 mars au siège de l’Unesco à Paris était organisé un ambitieux congrès international par le Conseil Scientifique de l’Education nationale en partenariat avec Canopé. Un congrès international pour mettre au jour de nouvelles stratégies au service de la réussite de tous les élèves.

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Les différentes conceptions de l’évaluation sont-elles culturelles ? III

Poursuite de ma réflexion concernant cette question avec ce petit article à partir de celui d’ Alain Bouvier Pourquoi, en France, l’évaluation des acquis des élèves est-elle si difficile ?

On s’interrogera sur la docimologie.

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Parcoursup : faut-il cacher le nom du lycée d'origine des candidats à l'admission dans l'enseignement supérieur ?

En même temps que s'ouvrait, le 22 janvier dernier, la phase d'inscription des voeux d'orientation en première année de l'enseignement supérieur, le Défenseur des droits - Jacques Toubon - publiait ses préconisations en vue d'une amélioration de la plateforme Parcoursup. En particulier, il revient sur ce qu'il avait déjà exprimé l'année dernière : la nécessité de prendre dès à présent des mesures ("dans les deux mois", soit avant la date d'envoi des dossiers vers les établissements d'enseignement supérieur), afin que la procédure d'affectation soit plus transparente, ceci dans le but de "permettre aux candidats d'effectuer leurs choix en toute connaissance de cause". 

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Pour une théorie du contrat éducatif

1 – La position originelle et les termes du contrat éducatif

Sur quel fondement théorique serait-il possible de concevoir l'idée d'une école juste ? Cette question, qui possède des similitudes avec la théorie politique, pourrait recevoir un même cadre d'analyse qui est celui du contractualisme. En tant qu’elle assume l’une des missions régaliennes de l’Etat, l’éducation nationale répond à une finalité qui se formule de manière globale comme une exigence de justice et de droit opposable du citoyen.

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Vers la fin de la quasi gratuité des droits de scolarité des universités françaises ?

La France est l'un des très rares pays développés dans lesquels les études supérieures universitaires peuvent être gratuites ou quasi gratuites, aussi bien pour les étudiants francais que pour les étrangers. En 2018/2019, les droits de scolarité sont modestement d'un montant de 170 euros par an pour un premier cycle licence, 243 euros pour chaque année de deuxième cycle master, et 380 euros par année du troisième cycle doctorat. Quelques cas particuliers existent cependant, mais la règle jusqu'à ce jour a été la quasi gratuité de telles études supérieures.

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