Un projet eTwinning intitulé « Réunion/Paris/Espagne/Mexique, et Vice Versa », a été réalisé en un temps très restreint, puisqu’il n’a duré que deux mois et demi ! L'objectif principal de ce projet était d’initier des liens d'amitié et de collaboration entre 6 établissements scolaires situés sur trois continents différents : l’océan Indien (La Réunion), l’Europe (Paris et l’Espagne) et l’Amérique centrale (le Mexique).

Madame Nancy Gendron, Directrice de marque et communication au Collège Sainte Anne de Lachine au Québec a la gentillesse de nous faire parvenir cet article où elle présente le Projet Éducatif de la nouvelle École secondaire du Collège Sainte Anne [i]; La note en fin de document donne accès à la présentation «Vision Sainte-Anne» pour en savoir davantage au sujet de ces établissements aux conceptions pédagogiques innovantes. 

Publié par Pascal Clerc, Professeur des Universités en géographie, sur theconversation : On y passe des milliers d’heures en tant qu’élève ; on y est assis, placé, dans une ligne et une rangée. La salle de classe, ce parallélépipède de plus ou moins 10 mètres sur 6 mètres, est un lieu familier pour chacun d’entre nous. La classe, c’est là que des enseignants enseignent et, quand tout se déroule bien, que des élèves apprennent. Elle va aussi de pair avec un enseignement (et un enseignant ou une enseignante), un groupe d’élèves et un temps dédié. D’ailleurs, on utilise le même mot pour les désigner.

Nous étions cinq, jeunes adultes, adolescents et moi, une vieille personne. C’est un sentiment d’émerveillement que nous avons tous ressenti suite à notre visite de l’Insectarium de Montréal.

Moi qui appartient à la génération de l’École du bonheur au Québec, je remercie madame Isabelle Dufresne d’avoir invité monsieur Martin Meissonnier à nous retrouver lors de la rencontre mensuelle du Future Classroom Lab France (i), le 6 décembre.  Alors qu’on entend trop parler d’enseignants.es déprimés.es qui quittent la profession et d’un retour marqué de certains vers un enseignement rigide qu’ils désirent essentiellement fonder sur des données probantes et qui traitent de mythes plusieurs concepts propres à l’éducation contemporaine, j’ai été séduite par cette idée du Bonheur @ l’école (ii).

La démarche PEDT : Formaliser un article centré sur cette démarche particulière présente plusieurs difficultés : d'une part aborder la dimension politique, au sens volonté d'acteurs institutionnels à travailler ensemble la question de cohérence des différentes actions éducatives mises en place sur un territoire donné, en direction des jeunes, de 0 à 18 ans et d'autre part la dimension des organisations et complémentarités des actions à développer pour atteindre les objectifs, souvent ambitieux, fixés par les responsables du projet global.

Je dois avouer que j’ai quelques difficultés à m’approprier les expressions « continuité éducative », « continuité pédagogique », voire  «  continuum éducatif » (même chose en plus « savant »). Dans un but souvent louable, il s’agit là d’un fourre tout dans lequel se mêlent, au gré des besoins, des considérations de lieux, de temps, d’outils, de processus pédagogiques et de processus d’apprentissage.

Equipe MyTwiga : Saviez-vous que 81% des parents sont inquiets au sujet du temps d’écran de leur ado, selon une étude menée par l’UNAF. Aujourd’hui, la durée moyenne du temps moyen d’écran par jour et par ado s’élève à 4h11, en 10 ans on constate une évolution de 33%. Cela s’explique par une explosion du nombre d’applications, entre les réseaux sociaux et l’apparition de nombreux objets connectés : ados et parents sont concernés.