Le numérique, c’est évidemment et d’abord de la culture. De la bonne culture faite pour les femmes et les hommes qui partagent le goût d’être et d’avancer ensemble, en plein accord avec leur temps. C’est la culture de la confiance et de la raison, la culture des lumières contre l’obscurantisme, la culture de l’humain, du social, du sociétal.

Orah de Mortcie demeure aux Pays Bas. Il écrit du théâtre depuis 12 ans. Stéphanie de Vanssay dans un récent article signalait "Le prochain Train", pièce qui se déroule au théâtre de la Manufacture des Abbesses du 07 octobre au 28 novembre.

Publié par Hubert Guillaud sur son blog.

Sur l’excellent blog (@msrsmc) de Microsoft Research consacré aux médias sociaux, la chercheuse Mary Gray, revient sur le développement de ce qu'elle appelle la “tâchification” du travail.

Interview réalisé par Nicolas César publié sur Sud-Ouest.fr.

Le conseiller du président de la Cité des sciences et de l'industrie de la Villette nous livre son analyse pour "surfer" dans le nouveau monde

Sud Ouest : A quoi va ressembler le monde numérique demain ?

Communiqué : Dans un monde globalisé et hyperconnecté, il n'a jamais été aussi facile de s'informer, communiquer et voyager à l'étranger. Autant de mutations qui invitent à la découverte d'autres cultures, à l'échange avec d'autres personnes et qui incitent donc à l'apprentissage d'autres langues. Cette tendance vient d'ailleurs d'être confirmée par les résultats d'une récente enquête. Cette dernière a été menée au niveau international auprès de 45 000 utilisateurs par Babbel, N°1 de l'apprentissage des langues en ligne, afin de comprendre comment et pourquoi ils apprennent une langue.

Alors que le numérique irrigue tous nos usages et nos pratiques, l’attention reste focalisée sur le risque de fracture numérique de notre société susceptible de toucher les populations dites « éloignées ». Mais une autre fracture persiste : la grande majorité des élus et des décideurs politiques n’ont pas suffisamment appréhendé les nouvelles attentes des citoyens, l’émergence des politiques d’open data et le renouvellement des modèles économiques.

La révolution digitale est donc là : ce qui au départ n’avait semblé n'impacter que les agences de voyages, les maisons de disques et les cinémas concerne non seulement l’ensemble de l’économie, mais finalement toutes les institutions, les entreprises ainsi que les individus.