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La ruralité a apporté des innovations culturelles, didactiques et pédagogiques : les expérimentations des enseignants au contact adaptant des programmes nationaux à l’espace local en sont la preuve.

Pour mémoire, nous rappelons : les mouvements de l’Ecole Moderne développent la méthode de Célestin Freinet[1], les cours complémentaires et les Collèges d’Enseignement Général créent des internats et des études dirigées pour accueillir des populations scolaires urbaines de l’après-guerre en difficulté et pour développer l’économie du chef-lieu de canton[2], ils surent associer à un CFTV une expérimentation de structuration en sous-groupes de niveau et une Initiation à la Culture Audiovisuelle[3], les écoles de secteur de bourg rural utilisent la télématique et l’informatique pour fixer une population scolaire de proximité[4]…..

Le Numéro 10 de la Revue d’éducation de Sèvres de juin 1996  en propose une bibliographie thématique dont la problématique choisie ne peut rendre compte des enjeux des politiques scolaires locales que restituent les monographies et les relations d’expériences des acteurs sur le terrain. Nous trouverons cette même limite dans les travaux de la  sociologie[5] traitant du rapport entre l’école et le local et influençant les représentations des enjeux. D’autres professionnels apportent des orientations éducatives qui marquèrent l’enseignement, les médecins Itard et Montessori proposent des méthodes en y associant des enseignants qui les pratiquent.

A l’opposé de ces travaux académiques et propositions scientifiques,  les pratiques innovantes de terrain sont le résultat de faits conjoncturels :

L’expérience des tranchées et de la maladie chez Freinet, la formation reçue dans le maquis en relation avec les Comité National de la Résistance par le directeur du cours complémentaire d’Eymet[6], l’arrivée d’un professionnel des images et des sons en reconversion professionnelle au sein d’une communauté scolaire animée par un chef d’établissement s’appuyant sur une Amicale laïque et une association de parents d’élèves[7], un enseignant qui, pour maintenir une école rurale de  secteur, doit se distinguer de l’école du centre du bourg[8].

Si ces initiatives individuelles et collectives en milieu rural ont chacune leur originalité, elles ont toutes le but d’affirmer que l’Ecole publique est un acteur local dépassant la stricte géographie de son secteur académique : correspondance horizontale entre écoles, insertion d’une population urbaine dans une commune rurale, promotion du collège rurale  au niveau de l’académie et de l’international, maintien d’une école rurale proche de la population

L’expression des acteurs de terrain sur leurs pratiques innovantes en milieu rural fut rarement diffusée, car la plupart du temps elle est revisitée par des problématiques marquées par les théories et les politiques d’une époque.

Ont-elles encore une place dans une réflexion sur l’enseignement et l’éducation des générations montantes quand les géographes soulignent les mutations démographies de la population des communes ?

« C’est dans les périphéries rurales et périurbaines que se concentrent les classes moyennes et populaires et où s’observe la plus grande part de la pauvreté et du chômage » constate le géographe  Christophe Guilluy (2010)[9] .

En 2015, l’An@é organisait l’événement « les Boussoles du Numérique : les ports » : un atelier était consacré aux projets éducatifs territoriaux  et aux choix de collectivités territoriales pour les équipements éducatifs.

Les projets présentés montrent l’évolution des pratiques éducatives de l’enseignement dans le monde rural, qui utilisent le manuel, qui ont accès à la radio et télévision scolaire et qui s’équipent des outils issus de ce qu’il est commun d’appeler « le numérique.

Si les motifs des innovations pédagogiques en milieu rural avant le plan Informatique pour tous de 1985[10]  apparaît exprimer une volonté de faire reconnaître les apports de l’école publique tant au niveau local qu’académique et régional, ces motifs sont-ils  modifiés par le découpage territoriale proposé par le géographe Christophe Guilluy en zone urbaine souvent devenue agglomération, zone périphérique et zone rurale.

L’atelier des « Boussoles du Numérique, les ports »[11] présente les choix d’élus locaux de communes d’échelles différentes. La commune d’agglomération équipe le milieu scolaire en appliquant les directives gouvernementales en fonction des ressources financières qu’elles attribuent. La commune rurale devenue périphérique  d’une agglomération, dans un rayon aux environs de 30 à 100 kilomètres, inscrit l’Environnement Numérique de Travail dans le cadre de la rénovation urbaine de la cité. La commune rurale développe des investissements pour un projet d’éducation territoriale concernant l’ensemble de la population avec le souci de se rapprocher de l’Académie, de retenir une population rurale en la formant aux apports des outils numériques quel que soit son activité professionnelle et occupationnelle.

Les monographies antérieures à la naissance des zones rurales devenues périphériques et à la promulgation du Plan Informatique pour tous rendent compte de motivations similaires ; elles décrivent des pratiques pédagogiques et didactiques innovantes qui adaptent des directives ministérielles au milieu local et qui introduisent les évolutions technologiques  dans leurs pratiques éducatives.

Les motifs de ces décisions et le succès de leur mise en œuvre dépendent tantôt de la pression d’associations associant le personnel de l’établissement scolaire, tantôt d’élus dont c’est le centre d’intérêt.

Leur mise en œuvre existe par l’engagement militant, volontaire du personnel de l’établissement scolaire dont quelques membres, le plus souvent enseignants, ont une formation et une compétence dans le domaine de ces nouveaux outils.

Ce fait souligne l’importance de permettre des échanges horizontaux entre les acteurs de terrain pour développer ces pratiques innovantes qui interprètent des directives officielles en fonction des conceptions qui leur sont propres et de l’environnement local.

Ces réseaux, ne l’ignorons pas, soulèvent la question du contrôle des expérimentations en milieu scolaire par le gouvernement représentant l’Etat. Ils échappent aux grilles normatives d’évaluation administrative  et construisent des connaissances collectives contradictoires qui concernent la vie de l’établissement scolaire.

Ces réseaux sont le lien entre les trois zones géographiques proposées par Christophe Guilluy. Ils développent une connaissance des différents milieux scolaires, construisent une réflexion collaborative et pragmatique à partir d’expériences de terrain correspondant à des milieux sociaux et économiques différents. Ils sont un partage des réussites, des difficultés et des échecs de chacun pour exercer au mieux les actions quotidiennes d’éducation et d’enseignement.

Ces réseaux, bases de l’adaptation permanente de l’enseignement à des situations vécues, nécessitent une reconnaissance sociétale.

Dans l’environnement contemporain,  cette reconnaissance nécessite l’accès aux différents sites d’information et la liberté d’en créer dans le cadre légal. Elle est instituée par leur collaboration en tant qu’acteur à la réflexion et à l’analyse scientifique et par leur mise en valeur par des reportages qui leur donnent la parole. Cette volonté s’est exprimée depuis la création de l’Ecole Publique mais elle fut souvent détournée de ces objectifs : l’acteur de terrain  devient l’objet d’études scientifiques, la matière du journalisme, le modèle sorti de son contexte par le politique.

Pour créer une réflexion commune entre ces différentes spécificités ruralité, périphérie et agglomération, Il est  nécessaire de créer des espaces d’information libres d’accès[12].

Cette nécessité est exprimée autant par les enseignants que par les parents :

« Je suis professeur des écoles, maître-formateur. Cela fait 23 ans que j'enseigne, que j'expérimente diverses pédagogies dans la classe... que je lance des projets pour motiver les élèves et les faire entrer dans les apprentissages. Avide de découvertes, d'apprentissages, de savoirs et surtout aussi de partages, c'est avec un grand plaisir que je rejoins cette plateforme. »[13] .

« Maman  de deux enfants dont un en élémentaire et la seconde entrant en maternelle …Les parents ont besoin de savoir. Ils ont besoin de savoir pourquoi, bien qu'interdits les devoirs à la maison prolongent les instants à partager en tensions et gâchent les retrouvailles du soir. Ils voudraient comprendre comment l'aménagement du temps scolaire n'a rien changé à la fatigue de leurs enfants et pourquoi tous les enfants n'en bénéficient pas étant donné le caractère facultatif et même parfois payant. L'objectif n'était-il pas de mettre des activités culturelles à la portée de tous? » [14].

Eric Hitier est enseignant du premier degré dans une école rurale en proche périphérie de Tours depuis 8 ans, Dans « Innover en mode « rural » : vers un champ des possibles ». Il décrit la mise en œuvre de son action, son cadre géographique et sa finalité : « La réussite de ce projet passe par sa dimension co-éducative. L’école se situe en milieu rural, à une quinzaine de kilomètre de Tours, et a bénéficié il y a quelques années du plan Ecole Numérique Rural. Plan qui avait été souhaité par la municipalité et qui a permis l’achat d’une classe mobile et d’un TNI…..  Le projet EcoL@b est avant tout un projet global qui prend en compte un nombre important de variables mais qui les exploitent et les met à la disposition des partenaires de l’école afin d’en construire une identité forte. On pourrait finalement qualifier ce projet comme un écosystème pédagogique.»[15]

L’attribution d’un secteur géographique à cette école en fonction des trois zones, agglomération, périphérique, rural pose la question suivante : La ville de Tours (143_000 habitants et une université) n’est pas une agglomération, l’école distante de 30 kilomètres doit-elle être considérée comme rurale ou comme  périphérique c’est à dire comme accueillant une population dont l’activité professionnelle et économique dépend de Tours ?

Cette difficulté de situer la spécificité géographique se rencontre dans la plus grande partie des rapports d’activité des acteurs de terrain et rend difficile d’apprécier les caractéristiques propres à l’espace géographique et la valeur des échanges entre les différentes zones.

Sur un site tel qu’Educavox, les récits des enseignants confirment leur compétence et leur qualification et présentent une grande variété d’approches dont l’échange et la confrontation enrichissent la réflexion et les pratiques de l’enseignement.

Le partage des expérimentations, entre difficulté et réussite, stimule la recherche des solutions évolutives :

« Enseignante en maternelle, dès les premiers stages en pratique accompagnée ou en responsabilité d’abord, puis en tant que brigade ensuite, je ne me retrouvais pas dans "les groupes de couleurs" si répandus, pour organiser le travail en ateliers.

Certes, sur le papier, ils m’apparaissaient faciles d’utilisation, pratiques, précis. En pratique, c’était une autre histoire….J’ai alors commencé à chercher des idées d’organisations afin d’avoir un retour sur ces ateliers autonomes, de permettre aux élèves de réellement choisir ce qu’ils allaient faire sans ce que soit trop lourd à gérer tous les jours.

Après un an de réflexion, de piochage d’idées ici et là sur la toile (merci à Christine Lemoine pour son superbe site http://maternailes.net/pratiques/inscription/inscription.html  dont je me suis beaucoup inspirée), voilà ce dans quoi je me suis lancée.... »[16]

Le retour d’expérience critique questionne la recherche développement : « En 2013, après avoir vu un tutoriel vidéo sur Aurasma créé par François Jourde et lu un article sur son blog, je décidai à mon tour de me lancer dans la réalité augmentée pour créer mon manuel d'anglais augmenté. Malheureusement, plusieurs obstacles m'ont empêchée de mener à bien ce projet. …., la réalité augmentée avec Aurasma me paraissait quasi inaccessible, au regard du nombre d'obstacles à franchir avant de pouvoir s'approprier l'outil. J'ai donc abandonné cette idée jusqu'à récemment. Cet été, je me suis inscrite en tant que bêta-testrice pour le service en ligne Metaverse. C'est décidé : après les vacances de la Toussaint, j'intègre la réalité augmentée dans mes cours !.....À partir du studio accessible en ligne sur un ordinateur, je peux créer très facilement de la réalité augmentée sans avoir besoin de coder ou d'être experte en ingénierie pédagogique. Avec cet outil, je visualise et développe mon scénario pédagogique en utilisant des scènes et/ou des blocs pour créer des interactions…. »[17]

La capacité créatrice se substitue à l’outil numérique absent :

« Depuis la rédaction des nouveaux programmes pour l’école, nous avons eu cesse d'entendre et de lire des articles sur l'introduction de la programmation à l'école.

Je ne vais pas alimenter ce débat mais je vais plutôt me conformer aux textes.

Mais finalement ça veut dire quoi « programmation » ?.....

En abordant ce sujet lors de formations avec d’autres enseignants j’ai senti la panique monter... ou encore la traditionnelle réponse du manque de matériel numérique dans les écoles …

Mais récemment j’ai eu la chance d’expérimenter avec mes élèves un petit jeu de programmation sans écran ou plus précisément un jeu de cartes, The Bugs !

Alors qu’est-ce que l’on trouve dans cette boite ?

Le principe est simple, les élèves jouent contre un robot qui s’est détraqué, le Red Bug, il faut donc l’attraper et le réparer. Pour ce faire, il faut l’entourer d’un circuit d’énergie afin de l’attraper et le tout en coopérant ! Et oui, nous jouons tous contre le Red Bug et non pas chacun dans son coin. »[18]

Au cours de la consultation des sites, une typologie des postures des enseignants auteurs s’élabore et en montre la richesse.

Cette typologie serait enrichie par l’indication de la zone géographique pour comprendre les apports de chaque pratique sur l’espace concerné et les inter actions qui peuvent se mettre en œuvre entre ces trois espaces, zone urbaine devenue agglomération, zone périphérique et zone rurale.

Quand il est fait référence à un lycée, il s’agit d’une zone urbaine ou périphérique. La référence à école ou collège  ne permet pas de situer l’établissement scolaire dans une des trois zones. Quand l’auteur éprouve la nécessité de créer un site, le motif  peut être un sentiment d’isolement au sein de la communauté éducative ou la réalité d’un isolement géographique. Privilégier la seconde possibilité et supposer qu’il s’agit d’une zone rurale n’est qu’une hypothèse. Nous saisissons ici l’importance de la localisation géographique.

Cette exigence de la définition géographique de la zone permet de rompre avec l’imaginaire que développent des films de fiction[19] dont le caractère militant est utile et dont les thèmes s’appuient sur  des enquêtes sociologiques et journalistiques incontestables. Cependant, leur récit anecdotique isole les espaces scolaires les uns des autres quand, comme le montre la consultation des sites, la communauté scolaire a besoin de tisser des liens entre les différents espaces :

« Je suis professeur des écoles, maître-formateur. Cela fait 23 ans que j'enseigne, que j'expérimente diverses pédagogies dans la classe... que je lance des projets pour motiver les élèves et les faire entrer dans les apprentissages. Avide de découvertes, d'apprentissages, de savoirs et surtout aussi de partages, c'est avec un grand plaisir que je rejoins cette plateforme.»[20]

L’ignorance de la situation géographique de cet enseignant maitre-formateur, rural ou périphérique ou urbain, laisse libre cours à des suppositions : Manque de ressources pour sa tâche de formateur, isolement territorial, isolement au sein d’une communauté, etc…. Il faut donc avec prudence avancer toute interprétation sur les effets de la ruralité, du périphérique et de l’urbain sur la quête des enseignants à rechercher de l’information.

La compréhension de l’espace environnemental de l’enseigné est à prendre en compte, quand, en milieu rural,  Eric Hitier l’exprime dans l’exposé de son projet qui est une réflexion sur la notion d’espace-s et d’architecture de la classe. La continuité de cette pratique ne serait-elle pas une réflexion sur cette espace classe dans la commune et son environnement proche et lointain ?

Ce prolongement fait prendre conscience aux élèves, aux parents qu’ils sont le centre d’une aire géographique qui ne correspond pas à celle instituée référant la localisation du rectorat comme centre.

Il y aurait alors une inversion d’une certaine approche de la ruralité ; elle deviendrait un centre par rapport à la métropole, l’urbain et les périphéries, elle ne serait plus sous la tutelle du centre de la Région mais un lieu actif de la vie éducative et pédagogique de la Région et de cet fait un acteur de son évolution tant sociale qu’économique.

Les textes produits par les acteurs de terrain au contact direct avec le public de l’Education Nationale expriment la même finalité, hors de toute considération d’origine géographique : l’éducation à vivre ensemble nécessite la compréhension de sa société d’appartenance et la relation avec les autres dont des bases fondamentales sont l’éducation et la transmission de connaissances raisonnées par l’enseignement.

Cette construction collaborative de mise en commun de textes sur la vie scolaire dans un réseau d’information horizontale ne peut suffire.

Elle nécessite de se poursuivre dans des assemblées où la confrontation des expériences, et des points de vue  des praticiennes et  des praticiens ait lieu aux cours de manifestations. Qu’elles soient structurées en  grand groupe, moyen groupe ou petit groupe, ces manifestations doivent être conviviales et égalitaires en acceptant le dissensus[21] et en respectant la parole de chacun.

Le réseau d’informations horizontal est une préparation à ces manifestations sans lesquelles il n’est qu’écriture et échange formel sur l’application des textes officiels.

A titre d’exemple,  l’An@é dont Educavox est le média des acteurs de l’école met en place des événements faits pour créer ces lieux d’échange, de communication entre les auteurs qu’ils soient acteurs de terrain, représentants d’association, producteurs d’essais ou de travaux scientifiques et élus, in praesentia. Ces manifestations agissent sur les réseaux horizontaux d’information et  nourrissent la réflexion éducative, pédagogique et didactique issue des pratiques présentes dans les différentes zones géographiques. Elles mettent en évidence que la valeur d’une innovation n’est pas attachée à un secteur géographique plutôt qu’à un autre. Au cours des périodes précédentes, les réalisations en zone rurale ont créé des processus intégratifs et évolutifs des outils disponibles dans l’éducation et l’enseignement. Elles devinrent des références et des centres de ressources reconnues. Cet enjeu est toujours à l’ordre du jour.

Pr. Alain Jeannel , Septembre 2018.

 


[1] Freinet Célestin, L'École Moderne Française, éditions Ophrys, Paris, 1946

Jeannel Alain, «  Voir et revoir l’Ecole buissonnière «  Actualité de la pédagogie Freinet, PUB 1994.

2 Isabelle Thillet-Joubert du cellier, «Les années collège Eymet 1952-1970 » DEA  Laboratoire Politiques locales et innovation  pédagogique Université de Bordeaux 2, disponible mairie d’Eymet.

[3] Jeannel Alain, « Un circuit fermé (de télévision) dans un CEG rural,. Le  Pourquoi, le comment ? Média 9 SEVPEN, 1970

Jeannel A.lain, «  Le circuit de télévision au CEG de Montignac – Média n° 23_ »,  SEVPEN 1971.

Jeannel Alain, « L’audio-visuel au CES, le CES audio-visuel » CNDP CRDP de  Bordeaux 1972.

[4] « A l’école : la Télémédiathèque »,  Série Regards, FR3 Aquitaine, Réalisateur Alain Jeannel

« La télématique et l’informatique à l’école » Série Ecole à prendre, FR3 Aquitaine, Réalisation Alain Jeannel.

[5] Van Zanten Agnès. Choisir son école. Stratégies familiales et médiations  locales, Paris, Presses Universitaires de France, coll. “Le lien social”, 2009

[6] Isabelle Thillet-Joubert du cellier, «Les années collège Eymet 1952-1970 » DEA  Laboratoire Politiques locales et innovation  pédagogique Université de Bordeaux 2, disponible mairie d’Eymet.

[7] Exemple CEG Yvon Delbos de Montignac sur Vézère.

[8] Emission  de télévision, série « Ecole à prendre », « la télématique et l’informatique à l’école » FR3, producteurs délégués Alain Jeannel, René Laborderie, 05.05. 1984.

[9] Guilluy Christophe, fractures françaises, Edt Bourin 2010, réedt Flammarion champs essais 2013

[10] En consultation : HAL, hpts//halshs-archives-ouvertes-00730378.

[11] Jeannel Alain, « Les projets éducatifs Territoriaux et les choix des collectivités pour les équipements éducatifs » site Educavox, décembre 2015.

[12] La liberté ‘expression des acteurs de terrain nécessite une réflexion sur censure et auto – censure .

[13] Madame Poignonec site Educavox.

[14] Noémie, eParents accompagnés, site Educavox Janvier 2017.

[15]Hitier Eric,  Innover en mode « rural , site Educavox

[16] Fradet Murielle, « Choix et autonomie pour les ateliers en classe maternelle » Educavox, Février 2015 .

[17]  Regine, « La réalité augmentée, gadget ou véritable plus-value pédagogique dans  l’apprentissage des langues, Educavox  02 2à17.

[18] Rodde Anne, « Programmer sans écran » educavox Avr 03 2016

[19] Exemples : « Être et Savoir(2008), « Entre les murs »(2008), « La journée de la jupe « (2008).

[20]Poignonec,  Site ’Educavox.

[21] Morin Edgar, Introduction à la pensée complexe, Le seuil, 1990.

Dernière modification le mardi, 13 août 2019
Jeannel Alain

Professeur honoraire de l'Université de Bordeaux. Producteur-réalisateur. Chercheur associé au Centre Régional Associé au Céreq intégré au Centre Emile Durkheim. Membre du Conseil d’Administration de l’An@é.