Les volontés sont pourtant fortes ! Et les élus de ces territoires, aidés par les autorités académiques, savent trouver des solutions pratiques et pérennes.
C’est le cas en Lot-et-Garonne, département essentiellement rural, où le Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale, qui mutualise des missions dévolues aux communes propose des services clés en main aux 319 communes adhérentes.
Les lois de décentralisation des années 80 ont créé ces Centres de Gestion sous la forme d’ Établissements publics locaux à caractère administratif, gérés par des employeurs territoriaux avec la vocation de participer à la gestion des personnels territoriaux et au développement des collectivités. L’affiliation est obligatoire pour les collectivités territoriales qui emploient moins de 350 fonctionnaires titulaires ou stagiaires à temps complet. Les autres peuvent s’affilier à titre volontaire.
Gestion des personnels, marchés publics, emploi... le numérique est partout. Les révolutions de la technologie et l’irruption de l’internet modifient profondément les missions des élus territoriaux et donnent aux Centres de Gestion l’opportunité de développer des services dans de nouveaux champs.
Celui de l’Education comme celui de la communication prennent une place importante aujourd’hui.
Jean DREUIL, Maire de Sérignac, petite commune du Lot et Garonne et Conseiller Général de ce département, est Président du Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale.Il nous dit dans cette interview l’importance du projet « Elu Numérique Rural », qui répond à un besoin d’une formation adaptée des élus prévue par la loi du 3 février 1992 relative aux conditions d’exercice des mandats locaux.
Il nous dit également comment le numérique est entré dans les écoles de sa commune, et le projet de convention avec la Directrice Académique des Services de l’Education Nationale qui doit permettre à terme de proposer à toutes les communes de ce département l’installation d’un Espace Numérique de Travail dans les écoles.
La mutualisation est une solution qui marche !
Et Jean Dreuil confirme : « Plus on est rassemblés, plus on est forts ».
C’est le cas en Lot-et-Garonne, département essentiellement rural, où le Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale, qui mutualise des missions dévolues aux communes propose des services clés en main aux 319 communes adhérentes.
Les lois de décentralisation des années 80 ont créé ces Centres de Gestion sous la forme d’ Établissements publics locaux à caractère administratif, gérés par des employeurs territoriaux avec la vocation de participer à la gestion des personnels territoriaux et au développement des collectivités. L’affiliation est obligatoire pour les collectivités territoriales qui emploient moins de 350 fonctionnaires titulaires ou stagiaires à temps complet. Les autres peuvent s’affilier à titre volontaire.
Gestion des personnels, marchés publics, emploi... le numérique est partout. Les révolutions de la technologie et l’irruption de l’internet modifient profondément les missions des élus territoriaux et donnent aux Centres de Gestion l’opportunité de développer des services dans de nouveaux champs.
Celui de l’Education comme celui de la communication prennent une place importante aujourd’hui.
Jean DREUIL, Maire de Sérignac, petite commune du Lot et Garonne et Conseiller Général de ce département, est Président du Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale.Il nous dit dans cette interview l’importance du projet « Elu Numérique Rural », qui répond à un besoin d’une formation adaptée des élus prévue par la loi du 3 février 1992 relative aux conditions d’exercice des mandats locaux.
Il nous dit également comment le numérique est entré dans les écoles de sa commune, et le projet de convention avec la Directrice Académique des Services de l’Education Nationale qui doit permettre à terme de proposer à toutes les communes de ce département l’installation d’un Espace Numérique de Travail dans les écoles.
La mutualisation est une solution qui marche !
Et Jean Dreuil confirme : « Plus on est rassemblés, plus on est forts ».