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Figeac Patrick

Figeac Patrick

Proviseur honoraire, bénévole à https://radiobastides.fr/ en Lot-et-Garonne, président d’une association intermédiaire par l’activité économique, auteur. Pour retrouver les chroniques et autres actualités : https://radiobastides.fr/

Remettre la vie au coeur de l'école

Depuis plusieurs décennies à l'école comme dans de nombreuses institutions, l'humain a disparu au profit de l'évaluation, de la technicisation, de l'administration du pilotage par les résultats à l'exception peut-être de la maternelle mais pour combien de temps encore ? 

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Le temps et l'école

Depuis plusieurs années, le temps scolaire s'est contracté, le nombre d'heures de classe n'a cessé de baisser, la semaine se raccourcit; Au point qu'aujourd'hui, sur une année,l'écolier français se repose plus qu'il ne travaille. Avec des programmes, des contenus disciplinaires qui se complexifient et deviennent démentiels. Imaginez qu'en primaire,nos élèves passent moins de 10% de leur vie en classe et de leurs résultats va dépendre leur orientation future; Ne trouvez-vous pas cette situation aberrante?

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L'école et les valeurs

Régulièrement, des voix s'élèvent pour regretter la perte des valeurs, l'affaiblissement de la citoyenneté et en appellent au retour à la morale d'antan et à l'instruction civique. Nostalgie d'un âge d'or qui n'a jamais existé mais qui fait bel et bien consensus sur tout l'échiquier politique avant d'être jeté aux oubliettes jusqu'à la prochaine échéance électorale.

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L'éducation populaire

Dans l'expression " éducation populaire " nous trouvons en premier lieu le mot " éducation ". Faire grandir, accompagner celui ou celle dont nous avons la charge est notre  première mission,  avec deux exigences essentielles : nul ne peut apprendre à la place de l'autre qui doit  mobiliser son potentiel, ses ressources pour faire la moitié du chemin. 

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Il ne savait pas qu'il était enfant

De toutes les images qui nous viennent chaque jour de la guerre en Ukraine, celles des enfants sont bien évidemment  celles qui nous hantent, celles qui nous sont proches, celles qui nous rendent tristes même quand nous croyons ne pas y penser. Parce que nous assistons à la perte brutale de l'enfance. Nous voyons ce qui est arraché aux petit(e)s, ce qui leur est soustrait et la violence, la terreur et la mort qui surgissent dans leur vie. Mais, pour garder espoir en ces gamins, en leur avenir, je pense aux deniers vers du poème de Peter HANDKE

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