Trop de baccalauréats réduit la valeur individuelle du baccalauréat
- vendredi, 07 mars 2025
- Analyses

Trop de baccalauréats réduit la valeur individuelle du baccalauréat et contribue à renforcer l’emprise de Parcoursup sur le processus d’orientation des lycéens vers l’enseignement supérieur. En France, le baccalauréat moderne fut créé par le décret impérial du 17 mars 1808. « (Il) est délivré au vu des résultats à un examen qui sanctionne les enseignements dispensés dans les classes de première et terminale » (article D 334-1 du Code de l’éducation), et « comprend des épreuves finales et des évaluations de contrôle continu » (article D 334-2 du Code de l’éducation). De plus, comme il est écrit à l’article L 612-3 du Code de l’éducation, « le premier cycle (des études supérieures) est ouvert à tout titulaire du baccalauréat. Toutefois, ce privilège n’existe que pour l’accès aux premiers cycles universitaires non sélectifs.
En savoir plus...Intelligence artificielle générative au service de l’humain en éducation
- lundi, 24 février 2025
- Dispositifs

Le ministre de l’Éducation du Québec, Bernard Drainville, lance un guide destiné au personnel enseignant des classes primaires et secondaires (le Collège) sur l'utilisation pédagogique et éthique de l'intelligence artificielle générative. Voici le lien vers cet ouvrage du MEQ https://cdn-contenu.quebec.ca/cdn-contenu/education/Numerique/Guide-utilisation-pedagogique-ethique-legale-IA-personnel-enseignant.pdf?
En savoir plus...Les Intelligences Artificielles et l'Esprit critique : une réflexion en prise directe avec les acteurs terrains.
- vendredi, 24 janvier 2025
- Reportages

« Les intelligences artificielles et l’esprit critique » à l’IUT Michel Montaigne, le 27 novembre 2024 » manifestation organisée par l’Association nationale des @cteurs de l’école : Enregistrement disponible sur le site de l’association et bibliographie complémentaire établie par Michelle Laurissergues, IA et Esprit critique.
https://educavox.fr/les-reportages/content/439-les-ia-et-l-esprit-critique/
En savoir plus...Le PsyEn entre vie scolaire et santé
- mercredi, 18 décembre 2024
- Débats

Le Sénat a voté un projet de loi visant à expérimenter le transfert de la compétence « médecine scolaire » aux Départements volontaires. Il fut déposé devant l’Assemblée nationale le 23 juillet 2024. Le vote n’a pas encore eu lieu. Une Étude d’options sur le transfert de la compétence « santé scolaire » vient d’être rendue publique[1] et mérite quelques commentaires.
En savoir plus...La laïcité en jeux
- lundi, 16 décembre 2024
- Reportages

Lundi 9 décembre, journée nationale de la laïcité, le centre culturel François Mitterrand de Boé en Lot-rt-Garonne a accueilli quatre cents élèves de l’agglomération agenaise pour les sensibiliser au principe de laïcité.
En savoir plus...Ouverture du Séminaire An@é "Les intelligences artificielles et l’esprit critique"
- lundi, 09 décembre 2024
- Fait marquant

Monsieur le Directeur académique adjoint, représentant Madame la Rectrice de l’académie de Bordeaux, Mesdames et Messieurs les représentants des institutions partenaires de l’An@é, Mesdames et Messieurs les intervenants et participants à ce séminaire, je vous remercie pour votre présence aujourd’hui dans cet amphi mis à disposition par l’IUT Montaigne, qui a ainsi soutenu également notre projet.
En savoir plus...Nouveaux savoirs et nouvelles compétences des jeunes
- lundi, 18 novembre 2024
- Conférences

Le Cnesco a organisé une conférence de consensus les 5 et 6 novembre 2024, au lycée Paul Bert (Paris), qui a porté sur : « Les nouveaux savoirs et les nouvelles compétences des jeunes : quelle construction dans et hors de l’école ? ». Le Cnesco s’est associé à l’Ifé-ENS de Lyon, Réseau Canopé et le Réseau des Inspé pour l’organisation de cette conférence de consensus. Cette conférence a été présidée par Anne Cordier (université de Lorraine) et Cédric Fluckiger (université de Lille).
Inégalités scolaires : la France, mauvaise élève, joue son avenir économique et social
- vendredi, 25 octobre 2024
- Fait marquant

Par Nadir Altinok, Université de Lorraine et Claude Diebolt, Université de Strasbourg : En France, les origines sociales des élèves pèsent fortement sur leurs chances de réussite scolaire et ces inégalités ont tendance à se creuser au fil du temps. Voilà qui fait de l’Hexagone un mauvais élève au sein des pays de l’OCDE. Or, lutter contre ces écarts est non seulement une question d’équité mais aussi un enjeu pour l’avenir économique du pays.
En savoir plus...