Savoirs partagés, pratiques collaboratives, évaluation ludique, créer, co-construire ...voici quelques idées, quelques pratiques réunies dans cet article.

Il en est de tout dispositif ainsi : certains enseignants se les approprient et c'est bien. Il est aussi nécessaire d'alimenter les débats afin d'apporter par des regards critiques et néammoins positifs, les ingrédients nécessaires à une rétrospection et un enrichissement des actions pédagogiques nécessaires à tout éducateur. C'est pourquoi nous publions ce billet, avec l'autorisation de l'auteur, Cécile Morzadec.

Lors de la journée EIDOS64, à Pau le 25 janvier, nous avons assisté à l’atelier A04, animé par Jean-François CECI[1].

Changer de modalité de formation implique un certain nombre de changements, mais lesquels ? François Osuirak (2016) reflète bien ce que je suis en train de mettre en oeuvre. Il indique, à juste titre, que ce qui guide le geste c’est sa finalité.

La France change de visage, elle devient métissée, plurielle, plus colorée, plus riche, plus belle, plus forte. Comment sauvegarder alors son unité? L'école se doit de relever le défi de cette pluralité pour nous permettre de cheminer vers un vivre-ensemble salvateur en matière d'avenir. 

Même pas peur ! Quel beau slogan ! C’est exactement celui que l’An@é a choisi pour mieux faire comprendre pourquoi il faut faire la fête à l’Internet et au numérique, en organisant l’événement « Carn@val numérique » le 18 mars prochain, à la Cité des sciences et de l’industrie de la Villette. 

Les progressistes qui observent l’école depuis plusieurs dizaines d’années s’étonnent toujours de la faible proportion d’enseignants qui peuvent être considérés comme innovants.

Publié par Anna Benjamin sur l'Express. Avec 96% de réussite au brevet, le collège Jean-Rostand, à Orléans, se classe en tête des établissements Réseaux prioritaires renforcés. Les secrets de son succès? Discipline, innovations pédagogiques et suivi des élèves.