Un travail collaboratif s’appuyant sur une méthodologie d’analyse sémantique de l’intégralité des idées exprimées a permis une véritable transparence dans les échanges pour aboutir à la priorisation de 4 axes forts, contre 8 en 2020.
“Dans ce contexte d’élection présidentielle, cette motion est un vecteur très important pour adresser la puissance publique sur les enjeux nationaux du numérique.” Mathieu Vidal, président de Villes Internet, adjoint à la maire d’Albi (81) @@@@2020, docteur en géographie et aménagement, maître de conférences à l’INU Champollion
Pour Caroline Zorn, vice-présidente de l’association Villes Internet et de l’Eurométropole de Strasbourg (67), “les élu·es font face à une contradiction entre la volonté de tout dématérialiser et les besoins énergivores que provoquent cette dématérialisation.”
Claude Morin, également vice-président de l’association et maire de Nouans (72) @@2021, s’interroge : “Comment lutter contre la circulation des fausses informations ? Cela ne peut être fait au niveau communal, l’Etat doit prendre en charge ce problème. Les moyens me paraissent dérisoires au regard des enjeux.”
Selon Claudy Lebreton, président du Conseil des Partenaires des Territoires de Demain et Président honoraire de l’Assemblée des Départements de France, “plus aucune politique nationale n’est possible sans le concours des collectivités territoriales. Beaucoup de gouvernements se sont succédés, il y a eu de bonnes paroles, mais cela n’a pas été suivi des faits. La richesse de nos territoires, ce sont ses assemblées d’élu·es. Pendant la pandémie, si les collectivités n’avaient pas été au rendez-vous, cela aurait été catastrophique.”
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