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Premier colloque sur les projets innovants e-FRAN : quelles conclusions ?

C'était au Carré des sciences le 11 janvier 2018, le premier colloque sur les projets innovants e-FRAN. Quelles conclusions ? Suite à l’appel à projets lancé en 2016 par la mission e-FRAN[1] dans le cadre du programme d’investissements d’avenir, 22 projets lauréats ont été déployés sur tout le territoire pour expérimenter et évaluer de nouvelles manières d’enseigner et d’apprendre avec le numérique dans un cadre scientifique rigoureux.

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Installation du conseil scientifique de l'Éducation nationale, mercredi 10 janvier 2018

Source : education.gouv.fr

Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale, a installé les membres du Conseil scientifique de l'Éducation nationale et a présenté leurs missions, mercredi 10 janvier au ministère de l'Éducation nationale.  Le conseil, doté d'un pouvoir consultatif et composé d'une vingtaine de personnalités reconnues travaillant dans différentes disciplines scientifiques, pourra être saisi sur tous les sujets afin d'apporter des éclairages pertinents en matière d'éducation.

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Projets de réformes du lycée et du baccalauréat : où en est-on ?

Passant dans nombre de lycées depuis plusieurs mois, afin d'y faire des conférences de présentation de la nouvelle plateforme "Parcours sup", je peux témoigner d'une forte inquiétude des acteurs de terrain quand à l'idée d'appliquer la réforme annoncée du lycée au niveau seconde, dès la rentrée de septembre 2018. 

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Les "attendus" dans la nouvelle plateforme "Parcours sup" : de quoi s'agit-il ? A quoi cela servira-t-il ?

Comme beaucoup le savent désormais, en France, il a été décidé de mettre en œuvre une nouvelle plateforme télématique de gestion des candidatures des bacheliers désireux de passer dans l'enseignement supérieur.  Nommée "Parcours sup", elle vient remplacer en 2018 la plateforme "admission post bac" (APB") qui existait depuis 2009. Au moment où nous rédigeons cet article, la version définitive de cette nouvelle plateforme n'est pas encore connue : elle fait l'objet d'un débat parlementaire qui doit aboutir à une loi dont on espère qu'elle sera votée avant le 15 janvier 2018, date officielle du lancement de la nouvelle plateforme.

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Pour ou contre le redoublement ?

Dans une interview accordée au journal "Le Parisien" du 7 juin 2017, le nouveau ministre francais de l'Éducation Nationale - Jean-Michel Blanquer - avait annoncé qu'il allait très prochainement remettre sur le chantier la question du redoublement. C'est désormais acté : un projet de décret traitant de ce point a été examiné le 29 novembre 2017 par une commission chargée de préparer un texte définitif à soumettre au Conseil supérieur de l'éducation (le CSU), le 14 décembre prochain. Il y est clairement fait mention du rétablissement de la possibilité de décider d'un redoublement (ou, comme il est recommandé de le dire en termes moins stigmatisants : un "maintien de classe").

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Les "Business schools"​ françaises de 1819 à nos jours

Deux siècles d'un développement en marge de l'université.

Les actuelles "business schools" françaises sont les héritières d'établissements nés il y a près de deux siècles. Pour pouvoir bien analyser ce qui les caractérise aujourd'hui, et ce que pourrait être leur avenir à court et moyen termes, nous vous proposons d'en découvrir avec nous la genèse, et les pistes de développement qui s'offrent à elles aujourd'hui.

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Jean-Michel Blanquer annonce une mobilisation générale autour de la langue française à l’école : " Maîtriser le français, une exigence pour la réussite de tous "

Visiblement choqué par les résultats de l’enquête PIRLS[1], le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, rencontrait la presse le 5 décembre pour prendre acte d’une situation alarmante qui confirme les résultats précédents de l’enquête PISA.

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Exclusif : on peut aimer très très fort un rapport de l’inspection générale

J'ai toujours pensé que les rapports demandés à des fonctionnaires de l’État dans le cadre de leurs missions publiques, sur des sujets qui concernent tous les citoyens, hors secret d’État, devaient être publiés sans tarder, au sens de rendus publics, sous la protection d’une licence libre, du type Creative Commons. Il n’y a, à mon avis, aucune raison valable à retarder voire empêcher la publication de données ou de réflexions qui ont été ouvertes à la connaissance et à la consultation des citoyens par l’ensemble des missions et dispositions législatives récentes concernant l’« open data ».

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