La cinquième édition du festival Allez Savoir intitulée « Des obéissances », porté par l’EHESS et la Ville de Marseille, a pris fin dimanche 29 septembre. Une édition riche, studieuse, émancipatrice et joyeuse !
Durant quatre jours, les sciences sociales ont révélé ce que l'obéissance et surtout la désobéissance disent de nos sociétés. « Des obéissances » a accueilli près de 7 000 festivaliers sur les nombreux lieux marseillais du festival et en ligne grâce aux diffusions en direct.

Dans le cadre des célébrations de son bicentenaire, le musée Fabre lance le projet des « Enfants ambassadeurs ». Pour un musée « à hauteur d’enfants » et un meilleur accès à la culture pour tous, il proposera aux petits montpelliérains de parrainer une œuvre d’art par l’intermédiaire de leur classe. Après une année d'expérimentation, le dispositif est désormais ouvert à toutes les classes de la Ville, sur la base du volontariat, à partir de la rentrée. Il sera ensuite étendu aux communes de la Métropole.

Le Traité d’escrime de Joachim Meyer issu de la collection permanente de la Bibliothèque Humaniste de Sélestat dans le Bas-Rhin est un des fils conducteurs de l’exposition En garde ! consacrée à l’escrime et à l’appropriation de cette discipline par les artistes. Le parcours est aussi un clin d’œil à l’ancienne fonction de la Bibliothèque Humaniste qui a accueilli dans ses locaux la bibliothèque municipale des années 1950 à la décennie 1990. Dans les lieux, des lecteurs ont emprunté et lu des romans de cape et d’épée.

Bilan disciplinaire CICUR (Collectif d’interpellation du curriculum) propose un bilan pertinent, de même que les problématiques qui peuvent alimenter le débat disciplinaire : L’enseignement du français a connu des phases d’ouverture caractérisées par le choix d’étudier la diversité des discours et des pratiques langagières, d’ouvrir à la littérature de jeunesse au primaire, aux littératures francophones et étrangères, d’associer le développement de la personne à ses capacités à écrire, lire et parler.

L’exposition Futurotextiles, lancée il y a près de 20 ans par lille3000, revient pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 avec une édition inédite baptisée Textimoov!. Ce nouvel opus met en lumière l’innovation technique dans le textile en explorant son lien avec le sport, le mouvement, et même l’exploration spatiale. En croisant technologie, mode et art, cette exposition révèle comment ingénieurs, créateurs et artistes collaborent pour répondre aux grandes questions sociétales actuelles, offrant ainsi des perspectives et des créations inattendues et inspirantes.

Le peintre Augustin Rouart est longtemps resté un peintre méconnu. Issu d’une illustre famille d’artistes étroitement liée à l’impressionnisme, c’est son fils Jean-Marie Rouart qui a œuvré à sa reconnaissance. Il est exposé en 1987, à son initiative. La Villa Montebello propose une rétrospective thématique ancrée dans son environnement familial. 

Le 14 juin dernier, L’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique (OBVIA) ^[i] mettait en ligne : L'État de la situation sur les impacts sociétaux de l'intelligence artificielle et du numérique, un rapport qui fait état des connaissances actuelles sur les impacts sociétaux de l'IA et du numérique, structurées autour des sept axes de recherche de l'Obvia : santé, éducation, travail et emploi, éthique et gouvernance, droit, arts et médias, et transition socio-écologique.  L’évènement du lancement du rapport est disponible sur YouTube. 

La Direction des Lycées de la Région Normandie propose des actions éducatives pour favoriser les compétences numériques transversales des lycéens. Digi’Impressionniste est un outil artistique et numérique qui a permis à des lycéens de concevoir une œuvre photographique collective, désormais exposée au Musée d’art moderne André Malraux (MuMa) au Havre.