On travaille dans des espaces virtuels partagés, des " drives "…On échange sur les réseaux des informations passantes qui filent …qui défilent sans cesse…
Que reste t-il de nos amours ? Chantait le poète…
Bref, si vous voulez exister, il faut co-worker, co- construire, co-voiturer, co-exister...Il vous faut créer une identité sur les réseaux, avoir un message bien construit, percutant, et si vous produisez de la vidéo, qu’elle soit drôle ou émouvante, et courte !
Que reste-t-il de tout cela
Dites-le-moi …Chantait le poète
Et puis, vous vous regroupez, vous échangez vos dernières " applications " - qui n'existeront bientôt plus vous communiquerez avec votre "chatbot " -, vous faites un hackathon, un pecha-kucha, vous entrez dans des démarches de design thinking…
Que reste-t-il des billets doux
Des mois d'avril, des rendez-vous ? Chantait le poète…
Pfff. Point de nostalgie s’il vous plait !
On peut sourire de l’avalanche de nouveaux mots, de nouveaux concepts, de nouvelles pratiques qui ne facilitent pas l’appropriation d’une culture numérique par tous… et pourtant…
AVAN, c’est maintenant.
On peut encore dire BYOD...AVAN n'est pas encore répertorié sur les moteurs de recherche...
Et il faut l’admettre, avec un smartphone en main, on a accès à toutes les informations qu’on cherche, il y a plus d’échanges, on crée de nouvelles façons d’apprendre, on individualise…
A découvrir encore, la sélection d’articles ici
Et d'ailleurs, où sont nos chercheurs ? Sur ces domaines... là : robotique, co-design, intelligence artificielle, culture des données, algorithmes
A découvrir cette sélection d’articles : ici
Comprendre les enjeux de la société qui vient
Vous pouvez pour cela, si vous le souhaitez venir faire un tour du côté de Changer d’Ere…
Voici une synthèse des débats par Michel Perez :
"Le travail aux robots… la vie aux humains " / " Au boulot les humains !"
Et si vous souhaitez accèder à tous les débats, interviews... :
C'est ici : http://www.forumchangerdere.fr/
Il était une fois…l’Homme
Nicolas Le Luherne : " Penser l’avenir, surtout en matière d’éducation, est de projeter sa propre vision du monde. On ne peut pas rêver à côté de soi. Il faut s’engager, confronter son point de vue à l’autre, mettre à distance son univers mental et jongler entre nostalgie d’un âge d’or révolu et enthousiasme béat. Le changement est affaire de compromis.
Le danger ? Une nouvelle guerre entre anciens et modernes. L’avenir, parce qu’il est imprévisible et complexe, n’est pas manichéen. Penser l’avenir serait-ce résister au présent par le passé ou oublier hier en aspirant à demain ? "
Je vous invite à lire son article. Il y pose quelques questions fondamentales sur la manière de penser l’école aujourd’hui…
Que reste-t-il de tout cela
Dites-le-moi. Chantait le poète…
Et parfois la nostalgie nous reprend. Pas celle qui nous rappelle à un passé mort, mais bien celle qui nous fait craindre de laisser de belles pensées, lettres mortes.
Michelle Laurissergues
Dernière modification le mardi, 04 juillet 2017